Dossier de presse - Isle sur la Sorgue
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Dossier de presse - Isle sur la Sorgue
Robert Doisneau Du métier à l’œuvre - Palm Springs 1960 Dossier de presse Robert Doisneau Du métier à l’œuvre Palm Springs 1960 © Atelier Robert Doisneau Le Centre d’art propose cet automne-hiver, une grande exposition consacrée au photographe Robert Doisneau. La sélection de 100 épreuves originales noir & blanc, intitulée « Du métier à l’œuvre », a été créée en 2010, pour la Fondation Henri Cartier Bresson sous le commissariat d’Agnès Sire. Choisies parmi les trésors de l’Atelier Robert Doisneau, ces images ont été réalisées entre 1930 et 1966, à Paris et dans sa banlieue. On y retrouvera les clichés légendaires pris aux Halles de Paris, au Pavillon de la viande en 1955, ou ceux du Bal du 14 juillet à la Bastille, ainsi qu’un choix de portraits célèbres d’enfants et de personnages pittoresques que le photographe a rencontré au gré de ses pérégrinations : « Le petit tzigane de Montreuil », « L’enfant papillon », « Coco », « Richardot », « Mademoiselle Anita » etc. Il s’ajoute à cette sélection, trente tirages de la série en couleur « Palm Springs », réalisée en 1960, pour le magazine Fortune. Le thème du reportage était la construction de golfs à Palm Springs, refuge des riches retraités américains dans le désert du Colorado. Enfin, sous vitrine, l’exposition sera enrichie, de documents, d’épreuves vintages et d’un tirage moderne du « Baiser de l’hôtel de Ville ». 1 ” Jean-François Chevrier © Atelier Robert Doisneau “ Comme tous les familiers de la rue, Doisneau a su fixer cette gravité rayonnante qui isole un être humain de la foule, ces moments de grâce qui rassemblent des passants dans « l’illusion d’un instant » comme dans une géométrie de rêve. Longtemps Robert Doisneau a été perçu comme le chantre du pittoresque parisien. Illustrateur de génie, il a su comme personne saisir l’image agréable, l’anecdote inattendue : on a reconnu en lui le professionnalisme et la poésie simple de l’instantané. Mais l’œuvre de Robert Doisneau est infiniment plus complexe. N’émergeaient pour moi que les icônes joyeuses et douces illustrant les nombreux livres que je n’avais pas approfondis. Ce texte apportait une distance nouvelle qui me poussa à voir plus loin et à comprendre « ce sentiment d’insuffisance de l’enregistrement photographique […] constitutif d’un art qui procède de l’émotion », qui, allié à un besoin de réalisme, fait la force des images de Doisneau. Une grande complicité le liait à Henri Cartier-Bresson ; aussi enfantins l’un que l’autre dans leurs rires, ils ne manquaient cependant pas de se consulter sérieusement dès que le métier l’exigeait. « Notre amitié se perd dans la nuit des temps, écrivait HCB en 1995, nous n’aurons plus son rire plein de compassion, ni les reparties percutantes de drôlerie et de profondeur. Jamais de redites, chaque fois la surprise. Mais sa bonté profonde, l’amour des êtres et d’une vie modeste, est pour toujours dans son œuvre. ». Ils n’avaient pas la même conception de la photographie. À l’imparfait de l’objectif de Doisneau se conjuguant mal avec L’Imaginaire d’après nature d’un Cartier-Bresson, plutôt adepte de la rigueur, influencé par la peinture et le dessin et hostile au recadrage. La revue Le Midi illustré rapporte que lors des obsèques de Doisneau « CartierBresson a jeté dans la tombe de son copain une moitié de pomme, puis a croqué l’autre dans un geste de communion profane », posture qui en dit long sur la fraternité simple des deux hommes. C’est donc à l’Atelier Doisneau – l’ancienne maison familiale de Montrouge – que se sont concentrées mes recherches. C’est là que sont organisées et gérées les archives par les deux filles de Robert Doisneau, Annette et Francine. à cet égard, il faut saluer leur grande ouverture d’esprit et l’enthousiasme avec lequel elles ont accueilli ce projet, très curieuses d’accompagner une approche sans doute différente de l’œuvre de leur père bien que non exhaustive. J’y ai passé de longues après-midi – finalement très courtes – à regarder une multitude de tirages, à pratiquer une sorte d’attention flottante pour laisser émerger un sentiment d’abord diffus puis très net : dès que l’on sort du registre du pittoresque propre à l’illustration – qu’a beaucoup pratiquée Doisneau pour gagner sa vie –, cette œuvre est sombre, à commencer par l’une de ses premières images, prise en 1930, représentant sa chambre, où l’apprenti photographe dénonçait déjà l’univers petit-bourgeois qu’il exécrait. Sombre ne veut pas dire inhumain et encore moins dramatique ; Doisneau ne recherchait certainement pas la dramatisation forcée des situations. C’est à la lecture récente d’un livre épuisé de JeanFrançois Chevrier sur Doisneau, qu’il m’apparut qu’il fallait sans doute regarder l’œuvre plus attentivement. 2 Il admirait Atget, – « les images d’Atget ont une rusticité qui défie le temps » –, les décors de Trauner, et cherchait au bout de « son rêve » éveillé un profond réalisme, paradoxe qui fait partie de la complexité du personnage. En tirant ce fil ténu, l’affaire parut de plus en plus claire : c’est du côté du Doisneau grave, des pavés tristes, des architectures banales de banlieue et bien sûr de l’aura des petites gens que se situait essentiellement l’œuvre. Le métier, comme souvent, l’avait quelque peu occultée. « Je vais mourir avec plus de regrets que de remords, expliquait-il à Sylvain Roumette, et parmi les regrets, il y aura celui d’avoir dû gagner ma vie avec des boulots qui m’ont vraiment fatigué. ». Le dur métier, Doisneau l’a beaucoup pratiqué. Après avoir quitté l’Ecole Estienne, il fut d’abord apprenti à l’Atelier Ullmann, spécialisé dans les publicités pharmaceutiques en 1929, puis embauché comme assistant par André Vigneau en 1931. Il devint ensuite pour cinq ans salarié chez Renault – « quand je me suis fait virer de Renault, ça a été la guerre » –, et entra à l’agence Rado-photo (devenue Rapho plus tard) qui négocia pour lui un contrat de salarié chez Vogue : il ne s’y sentait pas à l’aise, Doisneau n’aimait pas ce milieu parisien artificiel de la mode trop loin de lui, il répugnait à photographier les mannequins bien habillés dans l’univers des banlieues, mais photographia pour eux la vie des théâtres parisiens avec un grand professionnalisme. spécialiste de l’argot et du monde des bistrots, il aura l’occasion de photographier de nombreux artistes et écrivains et de pénétrer le monde nocturne parisien. La banlieue où il vivait, « les espaces vert-de-gris des terrains vagues », restera l’espace de prédilection, le véritable terrain, au sens anthropologique du terme, qu’il revisitera d’ailleurs, en couleur, missionné par la DATAR en 1984. C’est dans ces contours de Paris qu’il exprime toute sa modernité, la banalité d’un monde entre-deux, exotique mais manquant de cartes postales, selon ses dires : « L’acidité de la banlieue peut aussi bien digérer un champ d’épandage qu’un chantier de casseurs de voitures. » Robert Doisneau a subi lourdement le salariat, mais le travail, l’apprentissage des techniques de studio, les méthodes d’éclairage ne furent cependant pas une expérience vaine. Il y a glané de nombreuses informations, a rencontré chez Vigneau beaucoup de personnages qui l’ont ému et, curieux de nature, il a su chaparder des moments privés sur le temps imparti aux commandes, le fameux « regard oblique ». à diverses reprises, on note d’ailleurs dans ses écrits une légère amertume sur le fait d’avoir dû se plier à tant de travaux, et bien sûr un sentiment d’injustice, ou du moins une certaine défiance envers tous ceux qui ont photographié les usines, par exemple, hors de tout contexte social : « Après eux ( Jacob Riis et Lewis Hine) de nombreux dégagés-de-toute-préoccupation-sociale sont venus essayer leur virtuosité sur les terrains de l’industrie », ironisait-il ; il ajoute ailleurs : « Cartier-Bresson n’a pas de grand sac, il est léger, il passe comme un farfadet ! J’aimerais savoir pourquoi il photographie, il faudra que je le lui demande. ». Il faut noter que Doisneau, homme très chaleureux s’il en est, maniait parfaitement la critique, et sa lucidité n’avait d’égal que son plaisir à regarder. Il se décrivait comme « un faux témoin » qui s’est constitué « son petit théâtre » dans le but de prouver que son monde existe, que ce soit celui du rêve, « la photographie, c’est souvent comme la continuation d’un rêve », ou celui d’une réalité projetée, lorsqu’il voit une scène et la fait rejouer pour la photographier. à cet égard, la comparaison qu’il établit entre le photographe de rue et le saltimbanque est extrêmement intéressante : « Les cadrages décidés par le montreur d’images sont tout à fait comparables aux rectangles que se taillent sur la voie publique les banquistes avec leurs tapis et les forains avec leurs baraques, pour en faire ce que les urbanistes ont appelé les espaces ludiques. » De là à envisager la photographie comme « un espace ludique », dans un cadre relativement aléatoire, lié aux espaces autorisés, on comprend d’autant mieux l’extrême « souplesse » de Doisneau sur la question du cadrage: photographiées au format 6 x 6 dans la plupart des cas, les images étaient recadrées ensuite pour s’adapter aux pages des publications. Même dans le cas du livre essentiel de 1949 La Banlieue de Paris, concocté avec Blaise Cendrars, quelques images y sont reproduites avec des cadrages qui ne les mettent pas toujours en valeur. En faisant des recherches à l’Atelier, on voit bien à quel point une image peut se présenter sous de multiples versions, bien que tirées par l’auteur, et rarement bien sûr dans son format carré initial. La conception du fameux « rectangle » a fait couler beaucoup d’encre parmi les photographes du réel : il est un « moment de grâce » pour Sergio Larrain, « le jeu étant d’organiser le rectangle » ou bien l’art de « mettre sur la même ligne de mire la tête, l’œil et le cœur » pour H. C.B., ou encore « une lettre de l’alphabet pour entrer dans la mémoire des gens » pour Doisneau le graveur, qui avait davantage une attitude de pêcheur à la ligne que de chasseur qui tire, ce qui induit une temporalité très différente. Il cherchait des preuves de l’existence de son monde ; il cherchait à « inscrire » comme le dit judicieusement Chevrier, « sa géographie secrète », comme on grave dans un arbre. Il voulait planter le décor de ses pérégrinations, et humer la chaleur relative de la banalité quotidienne à laquelle il voulait croire. C’est toujours en ironisant sur lui-même que Doisneau abordait son travail, qui n’était pour lui que l’antidote à l’angoisse de ne pas être. Jongleur, funambule, illusionniste pour encore plus de réalisme, tel est le paradoxe trompeur de celui qui voulait « réussir ses tours comme le font les artistes du trottoir », avec la lucidité pudique d’un artiste malgré lui. Plus tard, il deviendra photographe indépendant, toujours représenté par Rapho, et au fil des rencontres, comme celle avec Pierre Betz, créateur de la revue littéraire Le Point, ou celle avec Robert Giraud, poète Agnès Sire Commissaire de l’exposition Pendant la guerre, il fallait prendre les rares commandes qui se présentaient pour survivre (sa femme Pierrette était enceinte d’Annette) et ses compétences de graveur lui permirent d’aider la Résistance en faisant de nombreux faux papiers. L’anecdote sur Serge Dobkovsky, l’inconnu pressé d’obtenir des papiers, qui repartit de la maison Doisneau avec ceux du photographe – qui manquait de temps pour lui en fabriquer d’autres – est assez révélatrice de l’esprit du bonhomme : « Dobko » devint un grand ami, le vrai et le faux Doisneau ne se sont plus quittés. 3 © Atelier Robert Doisneau Robert Doisneau et l’Amérique Depuis l’après guerre Robert Doisneau travaille régulièrement avec la presse américaine. C’est pour une commande de Life, en 1950, qu’il a réalisé celle qui deviendra sa photo la plus célèbre: « le baiser de l’hôtel de ville ». Rapho lui passe souvent des commandes pour le New York Times, Life ou Fortune. Là bas, ses images sont également entrées au Musée. En 1948 il a participé à une exposition sur la photographie française à New York avec Edouard Boubat, André Papillon, Willy Ronis. En 1951 c’est au MoMA de New York qu’il est exposé en compagnie de Brassai, Willy Ronis, Henri Cartier-Bresson et Izis. Pourtant en 1960, il n’a jamais traversé l’Atlantique. Faute de moyens, il a laissé les photographies voyager à sa place. la construction de golfs à Palm Springs, refuge des riches retraités américains dans le désert du Colorado. Après une journée passée à New York, il arrive à Palm Springs le 21 novembre. Il y restera jusqu’au 1er décembre. Ce qu’il découvre là bas l’incite à dépasser largement le thème du reportage. Au delà de l’empiètement des greens sur un territoire aride, il dresse un portrait amusé d’une planète artificielle repeinte aux couleurs les plus suaves. Il utilise tout à tour un Rolleiflex, un Leica et un Hasselblad et, pour la première fois se sert de la pellicule couleurs à des fins résolument esthétiques. Le 2 décembre il est à Hollywood dans les studios de la Paramount où Jerry Lewis tourne « le tombeur de ces dames ». Une semaine de prises de vues compliquées par les Syndicats américains qui délèguent à tout photographe étranger invité, un confrère américain qui le suit comme une ombre. Robert Doisneau quitte Los Angelés le 9 décembre pour rejoindre enfin Maurice Baquet à New York où ils réaliseront comme ils l’avaient rêvé, une série de prises de vues jusqu’au 17 décembre, date du retour vers Paris. New York sous la neige leur a offert des superbes décors qui ne suffiront pas à convaincre les éditeurs. Le livre commencé en 1957 sera édité 25 ans plus tard par Georges Herscher sous le titre « Ballade pour violoncelle et chambre noire ». Decrescendo, temps de pause. Depuis 1957 Robert Doisneau et Maurice Baquet travaillent à un projet de livre dont le titre envisagé est d’abord « On dirait du veau » puis, plus raisonnablement « Violoncelle slalom ». Ils ont déjà accumulé de nombreuses images réalisant une biographie décalée de Maurice Baquet joyeusement délirante. Au mois de juin 1960 Maurice Baquet part en tournée à New York jouer « la Plume de ma tante » de Robert Dhéry. Le spectacle remporte un vif succès et restera plusieurs mois à l’affiche à Broadway. Dès son arrivée Maurice demande à son ami Robert de venir le rejoindre pour découvrir New York, qui l’enchante, et dont il imagine que les décors seront une source d’inspiration pour le photographe lui permettant d’enrichir leur projet de livre. Robert Doisneau retournera deux fois aux Etats Unis. En mars1966 à l’occasion d’une commande de reportage sur Montréal, Doisneau retrouve Charles Rado à New York où il passe 3 jours à la découverte essentiellement du quartier de Wall street. Robert Doisneau en parle à Raymond Grosset qui dirige l’agence Rapho et qui alerte immédiatement Charles Rado, le fondateur de l’agence parisienne, installé depuis la guerre à New York où il a fondé l’agence Rapho-Guillemette. Efficacité des agents complices, les commandes ne tardent pas. C’est pour réaliser un reportage pour le magazine Fortune que Robert Doisneau prendra pour la première fois l’avion pour les Etats Unis le 19 novembre 1960. Thème du reportage : Il y reviendra en avril 1981 à l’occasion d’une exposition à la Witkin Gallery. Voyage amical en compagnie de Barbara Grosset et Willy Ronis. Il rencontrera alors le grand portraitiste Arnold Newman dans son studio de Manhattan. 4 “ ... lorsqu’il travaille à la sauvette, c’est avec un humour fraternel et sans aucun complexe de supériorité qu’il dispose son miroir à alouettes, sa piègerie de braconnier et c’est toujours à l’imparfait de l’objectif qu’il conjugue le verbe photographier. Robert Doisneau Biographie 1912 Naissance à Gentilly (Val de Marne) le 14 Avril 1925/1929 études à l’école Estienne Obtient un diplôme de graveur lithographe 1930 Dessinateur de lettres et formation empirique de photographie pharmaceutique à l’Atelier Ullmann 1948 « Photographie française » Avec Boubat, Ronis et Papillon New York 1949 « La Banlieue de Paris » Texte de Blaise Cendrars Ed. Pierre Seghers 1949/1951 Contrat avec le journal « Vogue » 1951 Exposition Avec Brassai, Ronis, Izis 1932 Vente du premier reportage au quotidien « L’Excelsior » 1952 « Sortilèges de Paris » 1934/1939 Photographe industriel 1954 « Les Parisiens tels qu’ils sont » Usines Renault à Billancourt Licencié pour retards répétés Rencontre de Charles Rado (Créateur de l’Agence Rapho) Devient photographe illustrateur indépendant 1942 1945 Rencontre de Maximilien Vox Illustration de l’ouvrage « Les Nouveaux Destins de l’Intelligence Francaise » Début de collaboration avec Pierre Betz, éditeur de la revue « Le Point » Rencontre de Blaise Cendrars à Aix en Provence Musée d’Art Moderne New York Pour l’hebdomadaire « Action » Voyage en Yougoslavie Pour le magazine « Regards » 1947 Rencontre de Jacques Prévert et Robert Giraud. Prix Kodak Textes choisis par Jean-François Chabrun - Ed. Hors Mesure Exposition Avec Henri Cartier-Bresson et André Vigneau. Musée Réattu à Arles Exposition Avec Jean Lattès, Daniel Frasnay, Janine Niepce, Willy Ronis et Roger Pic. Musée des Arts Décoratifs « Métiers de Tradition » 1956 Prix Niépce « Instantanés de Paris » « La Banlieue de Paris » Préface de Blaise Cendrars Ed. Arthaud « 1,2,3,4,5, compter en s’amusant » 1968 Exposition Ed. La Guilde du Livre de Lausanne « Gosses de Paris » Texte de Jean Donguès - Ed. Jeheber Exposition « Pour que Paris soit » Texte de F. Cali - Ed. Arthaud Textes de Robert - Ed. Robert Delpire Giraud et Michel Ragon Texte d’Elsa Triolet Ed. du Cercle d’Art 1958 Un chapitre dans « History of photography » De Peter Pollack - Ed. Abrams Rencontre de Pierre Courtade Reportages « Epouvantables épouvantails » Texte de Michèle Manceaux Ed. Fernand Nathan - Rencontre de Jacques Dubois Réalisation de photographies publicitaires Exposition Ed. Denoël - Texte de Robert Giraud 1960 Voyage aux USA Collaboration qui durera près de 50 ans 1966 « Catherine la Danseuse » 1946 Retour à l’Agence Rapho Dirigée par Raymond Grosset 1965 « Le Royaume d’Argot » 1931 Opérateur d’André Vigneau ” Jacques Prévert Retrouve Maurice Baquet à New York Puis reportage en Californie et à Hollywood Musée d’Art Moderne de Chicago 1964 « Marius le Forestier » Texte de Dominique Halévy Ed. Fernand Nathan 5 Préface de Georges-Henri Rivière Texte de Roger Lecotté Direction artistique Jacques Dubois Ed. Hors Commerce Crédit Lyonnais Réédition partielle 1967 Reportage en URSS Bibliothèque Nationale de Paris Avec D.Brihat, J.P.Sudre et L.Clergue Musée Cantini - Marseille 1971 Tour de France des Musées Régionaux Avec Roger Lecotté et Jacques Dubois « Témoins de la Vie Quotidienne » Préface de Maurice Genevoix Texte de Roger Lecotté Direction artistique Jacques Dubois Ed. Hors Commerce Crédit Lyonnais 1972 « My Paris » Texte de Maurice Chevalier Ed. Mac Millan à Londres Exposition Centre George Eastman Rochester Museum - USA Exposition Avec H.Cartier-Bresson, E.Boubat, Izis, Brassai, W.Ronis Moscou 1973 « Le Paris de Robert Doisneau » Court métrage de François Porcile 1974 « Le Paris de Robert Doisneau et Max-Pol Fouchet » Ed. Français Réunis Exposition « Robert Doisneau photographe » Galerie du Château d’Eau à Toulouse 1975 Invité au Festival d’Arles Exposition Witkin Gallery - New York Exposition Bruxelles Exposition Musée des Arts Décoratifs Nantes Exposition Fnac de Lyon Exposition Musée Réattu - Arles Exposition de groupe « Paris la Rue » BHVP Exposition « Expression de l’Humour » Boulogne Billancourt Exposition Galerie Neugebauer de Bâle Exposition à Cracovie Avec Brassai, H. Cartier-Bresson, J.-Ph. Charbonnier, Izis et M. Riboud. Exposition « 6 Photographes en quête de Banlieue » Avec G. Le Querrec, C. Freire, B. Descamps et J. Lattès. Centre Georges Pompidou 1978 « L’Enfant à la Colombe » Texte de James Sage - Ed. Le Chêne Exposition « Ne bougeons plus » Galerie Agathe Gaillard « La Loire » Ed. Denoël Exposition Witkin Gallery - New York 1979 Court métrage « Trois jours, trois photographes » De F. Moscowitz avec J.-L. Sieff et B. Barbey « Trois secondes d’éternité » « Le Mal de Paris » Ed. Contrejour Texte de Clément Lépidis Ed. Arthaud Exposition « Paris, les Passants qui Passent » Musée d’Art Moderne de Paris Exposition Galerie du Château d’Eau Toulouse 1981 Court métrage « Poète et piéton » 1987 « Pour saluer Cendrars » De François Porcile (55 mn) Texte de Jérome Camilly Ed. Actes Sud « Ballade pour violoncelle et chambre noire » Exposition « Saint Denis » « Passages et galeries du XIXème siècle » Avec Maurice Baquet Ed. Herscher Rome Witkin Gallery - New York Exposition « Doisneau, photographe de banlieue » Mairie de Gentilly Exposition « Portraits » Fondation de la Photographie Lyon Photopoche Ed. Centre National de la Photographie « Banlieue de Paris » « Le Vin des Rues » Réédition Ed. Denoël « Doisneau » Par Jean François Chevrier Collection « les grands photographes » Ed. Belfond Palais des Beaux-Arts de Pékin Exposition de portraits Tokyo 1984 Participe à la Mission Photographique de la Datar Exposition « Doisneau, photographe du Dimanche » Institut Lumière Lyon 1985 Collabore au journal « Femme » Participe au colloque Atget Collège de France 1986 « Le Paris de Robert Doisneau et Max-Pol Fouchet » Réédition Messidor « Un certain Robert Doisneau » Direction Artistique Robert Delpire Ed. le Chêne Exposition « Un certain Robert Doisneau » Crédit Foncier de France Exposition « Portraits » Ed. Hazan Grande Halle de la Villette 1989 « Les Doigts Pleins d’Encre » Texte de Cavanna - Ed. Hoëbeke « L’Imparfait de l’Objectif » 1990 « Lettre à un aveugle sur des photographies de Robert Doisneau » De Sylvain Roumette Ed. Le Tout sur le Tout / Le Temps qu’il Fait « La Science de Doisneau » Ed. Belfond Ed. Hoëbeke Exposition « La Science de Doisneau » Exposition « Doisneau-Renault » Exposition « Doisneau-Renault » Réédition Ed. Denoël 1983 Grand Prix National de la Photographie « Robert Doisneau » Exposition 1988 Exposition Hommage à la Villa Médicis Texte de B. Delvaille Ed. Balland Musée de Saint Denis Musée Kahitsukan Kyoto 1982 Exposition Maison de Balzac 6 Jardin des Plantes / Museum « Les Auvergnats » « Les Grandes Vacances » De Jacques Dubois Ed. Nathan Image Texte de Daniel Pennac Ed. Hoëbeke 1991 « La compagnie des zincs » Texte de François Caradec Ed. Seghers « Portrait de Saint Denis » Ed. PO/Calmann Lévy 1992 « Mes Gens de Plume » Textes choisis par Yvonne Dubois Ed. de La Martinière « Rue Jacques Prévert » « Paris » « la Banlieue » « Les enfants, les gosses » « Les portraits » « Question de lumière » Robert Doisneau / Henri Alekan Exposition rétrospective Ed. Hoëbeke 4 livres édités au Japon par Treville (Seibu) Court métrage et plaquette réalisés par Frank Saunier et les éditions Stratem. Direction artistique Peter Hamilton MOMA - Oxford « Robert Doisneau a retrospective » Court métrage « Bonjour, Monsieur Doisneau » Texte de Peter Hamilton Ed. Tauris Book (publié en Angleterre) De Sabine Azéma (RIFF Production) 1993 « Les Enfants de Germinal » Texte de Cavanna avec Willy Ronis et Jean-Phillipe Charbonnier Ed. Hoëbeke Exposition « Noces et Banquets » « Robert Doisneau » Texte de Lalla Romano Ed. Federico Motta (Italie) Accompagnant une exposition rétrospective à Milan « Robert Doisneau » « J’attends toujours le Printemps » Texte de Brigitte Ollier - Ed. Hazan. Lettres à Maurice Baquet Ed. Actes Sud 1997 Exposition « Hommage à Robert Doisneau » Düsseldorf « Mes Parisiens » LARC - Le Creusot « La Vie de Famille » Court métrage « Doisneau des Villes et Doisneau des Champs » 1998 « Bucéphale » Texte de Daniel Pennac Ed. Hoëbeke De Patrick Cazals FR3 Limousin-Poitou-Charente 1994 Meurt à Paris le 1er Avril Exposition « Robert Doisneau ou la désobéissance » Ecomusée de Fresnes Exposition Hommage Galerie du Château d’Eau Toulouse Exposition « Doisneau 40/44 » Centre d’Histoire de la Résistance et de la Déportation Lyon « Doisneau 40/44 » Texte de Pascal Ory Ed. Hoëbeke / CHRD Itinérance de l’exposition créée par Peter Hamilton Londres, Montréal et Galway (Irlande) 1995 Exposition « Grand hommage à Robert Doisneau » Collection Photopoche Société Dirigée par Robert Delpire Ed. Nathan Texte de Thomas Fersen Ed. du Rouergue Collection « Archives Privées » Ed. Actes Sud « Doisneau en Limousin » Collection « Regards » Ed. Culture et Patrimoine en Limousin 2000 « Robert Doisneau » Opération « Pour la liberté de la Presse » de Reporters sans frontières « Gravités » Exposition présentée à la Galerie Fait et Cause à Paris du 2 Mai au 15 Juillet « Robert Doisneau tout simplement » Cassette vidéo et DVD Ed. Montparnasse 2001 « Tous les jours dimanche » Entretiens avec Claude Villers Ed. du Pré aux Clercs « Doisneau en Ardèche » Accompagnée d’une importante monographie - Musée Carnavalet Texte de Pierre Presumey Ed. Fédération Œuvres Laïques d’Ardèche « Robert Doisneau ou La Vie d’un Photographe » 2002 « Un tal Robert Doisneau » Texte de Peter Hamilton Ed. Hoëbeke « Paris de Fous » Doisneau / Druillet Ed. Dargaud Exposition à Kyoto 1996 Circulation de l’exposition « Hommage à Robert Doisneau » (présentée à Oxford puis au Musée Carnavalet) à Montpellier en Mars et Avril puis au Japon de Juin à Novembre. Exposition présentée au Musée des Beaux-Arts Santiago du Chili 2003 « Robert Doisneau » Collection Icons Ed. Taschen « Travailleurs » Conception et réalisation Jean-Yves Quierry Texte de Jean-Claude Renard Ed. du Chêne Galerie Claude Bernard Paris « Robert Doisneau tout court » Exposition présentée au Centro Cultural Borgès Buenos Aires (Argentine) 2004 Exposition « Doisneau-sur-Lot » Galerie d’Art du Casino de Saint-Céré « Les révoltés du Merveilleux » Avec Gilles Ehrmann Texte de Charles Soubeyran Ed. Le Temps qu’il fait 2005 Exposition « From the Fictional to the Real » Galerie Bruce Silverstein New-York 1999 « La Transhumance de Robert Doisneau » Exposition « Inauguration » Exposition rétrospective de 58 tirages grand format dans les rues de Bogota (Colombie) 7 Exposition « Doisneau, Banlieue Sud » Musée de la carte à jouer Issy les Moulineaux Exposition « Doisneau chez les Joliot-Curie, un photographe au pays des physiciens » Musée des Arts et Métiers - Paris Livre catalogue Ed. Romain Pagès Exposition « Imprimeurs clandestins » Musée de la Résistance nationale Champigny sur Marne Exposition « Robert Doisneau photographies » Galerie Claude Bernard à l’occasion de la parution du livre « Doisneau/Paris » Ed Flammarion « Paris Doisneau » Ed. Flammarion 2006 Exposition « Robert Doisneau - ateliers d’artistes » Conseil général de la Meuse Hôtel du Département Bar le Duc Exposition « Rue Robert Doisneau » Grimaldi Forum Monaco Exposition « Robert Doisneau - Paris en liberté » Hôtel de ville Paris « Doisneau rencontre Cendrars » Ed. Buchet Chastel 2008 « Portraits d’artistes » Texte d’Antoine de Baecque Ed. Flammarion « Doisneau - Un voyage en Alsace 1945 » Texte de Vladimir Vasak Ed. Flammarion Exposition « Doisneau - Un voyage en Alsace 1945 » Maison de la Région Alsace Strasbourg Exposition « Doisneau Alsace été 1945 » La Filature - Mulhouse Exposition « Robert Doisneau / Paris » Mitsokushi - Tokyo 2009 Exposition « Robert Doisneau Paris en liberté » Isetan Museum - Kyoto 2010 Exposition « Robert Doisneau - du métier à l’œuvre » Fondation Henri Cartier-Bresson « Robert Doisneau - du métier à l’œuvre » Texte de Jean François Chevrier Ed. Steidl « Palm Springs 1960 » Texte de Jean Paul Dubois Ed. Flammarion Exposition « Robert Doisneau - Palm Springs 1960 » Galerie Claude Bernard 2011 « The best of Doisneau » « Robert Doisneau en Val de Bièvre » « Les doigts pleins d’encre » « Doisneau/Paris/Les Halles » Ecomusée du Val de Bièvre - Fresnes Museo Regionale di Scienze Naturali Turin (Italie) Texte de Vladimir Vasak Ed. Flammarion 2012 « Robert Doisneau, la traversée d’un siècle » Consulat Général de France Almaty (Kazakhstan) « Doisneau / Paris / Les Halles » « Epouvantables épouvantails » « Rétrospective Robert Doisneau » Salon d’accueil de la Mairie de Paris Espace de la Tour Mably (France) Tokyo Metropolitan Museum of Photography Tokyo ( Japon) « Robert Doisneau tout court » « Noces et banquets » « Robert Doisneau, Paris en liberté » « Robert Doisneau » Château de Malbrouck - Manderen « Paris au petit trot » « Les Alpes de Doisneau » « Les Alpes de Doisneau » « Quand Doisneau était l’œil de Point de vue » « Robert Doisneau, au fil du temps » « Robert Doisneau, un photographe au pays de l’homme » Maison des Traouïero Perros-Guirec Casino d’Art Saint-Céré « Robert Doisneau, Paris en liberté » « Le peintre dans l’œil du photographe, portraits d’artistes de Robert Doisneau » « Doisneau » « Robert Doisneau, le temps retrouvé » Du 15 septembre au 13 octobre 2012 Médiathèque de Meudon-la-Forêt (France) Musée National d’Art Moderne (MNAM) jusqu’au 21 octobre Centre Georges Pompidou - Paris Du 30 octobre au 24 novembre 2012 La Bulle - Médiathèque de Mazé (France) Du 29 septembre 2012 au 3 février 2013 au Palazzo delle Esposizioni Rome (Italie) Du 16 novembre 2012 à fin août 2013 Au Musée de l’Ancien Evêché Grenoble (France) Ed. Glénat Texte de Raphaël Morata Ed. L’express Roularta 2013 « Rétrospective Robert Doisneau » Du 30 janvier au 24 février 2013 à l’Isetan Museum de Kyoto ( Japon) 8 « Robert Doisneau, en passant par le Limousin » Musée des enfants Buenos-Aires (Argentine) Du 20 juin au 22 septembre 2013 Galerie des Hospices Limoges (France) Galerie de la rue St Vincent La Gacilly (France) Du 1er juin au 7 juillet 2013 Sapporo Art Museum Hokkaido ( Japon) « Trésors retrouvés » Abbaye de Stavelot (Belgique) Du 19 février au 5 mai 2013 Spazio Oberdan Milan (Italie) Du 1er juin 1er septembre 2013 Nederlands Fotomuseum Rotterdam (Pays Bas) « Les doigts pleins d’encre » Maison Xavier Bernard Saint-Sauvan « Robert Doisneau » Du 23 février au 30 mars 2013 au Bon Marché Rive Gauche Paris (France) « Robert Doisneau en pays Mélusin » « Un certain Robert Doisneau » Centre Culturel de la Justice Fédérale Rio de Janeiro (Brésil) « Robert Doisneau » « Rétrospective Robert Doisneau » Galerie Tarquinia Trouvillle-sur-Mer « Simplemente Doisneau » Galerie Tanit, Munich (Allemagne) Centre culturel français de Moscou (Russie) « Robert Doisneau, Paris en liberté » Villa Cathala Noisy-le-Grand (France) « Simplesmente Robert Doisneau » « Noces et banquets » Centre culturel Recoleta Buenos-Aires (Argentine) « Palm Springs 1960 » Du 24 mai au 22 septembre 2013 Reggia di Caserta (Italie) Du 25 mai au 29 septembre 2013 Musée du Mont de Piété Bergues (France) Texte de Brigitte Ollier Réédition grand format Ed. Hazan Autour de l’exposition Atelier ��� Adult p es & ad olescents hotograp De 10h à 12h ��� hie A te l’exposit ion Robe liers de 2 heure s, conçu rt Doisne Cornillet, s d’a au e co en pratiq mprenant une a t animés par Ch près u p ristine e par la proche th {Venir a prise de éorique vec son v e appareil u t une mis e s. photo e Pla Samedi Projection « Robert Doisneau, tout simplement » Film de Patrick JEUDY (67’) à l’auditorium Visites guidées 15h - Les samedis : 9 novembre 7 décembre 11, 18 et 25 janvier 8 février Visite guidée ��� Enseignants ��� 14h - Mercredi 6 novembre Visite découverte ��� Scolaires ��� 9h, 10h, 14h et 15h - Les jeudis : 14, 21 et 28 novembre 5 et 12 décembre 16, 23 et 30 janvier 6 février 9h et 10h - Les mercredis : 13 novembre - 18 décembre et 5 février Conférences 15h - Samedi 18 janvier « La photographie humaniste : de Robert Doisneau à JR » Par Christine Cornillet 1 ces limité es, réservatio illée} La poés 6 novembre ie Révéler, à la porte du ph otograp au gré d he es au cœur du réel le photographies, la poésie simples. plus ‘ban ca Ap a garder to prendre à (ré)o l’, la beauté des chée uvrir gra c us ses s nd ses y hoses en regarde eux mais plus ou p s en éveil pour aus ca as et retrou ver l’éton assez... Travail pturer ce qu’on n si ler son a e nement d composit ttitu ’un io ses ress n et quelques ou enfant, mais au de artistique entis. s tils techn iques po si la ur retran scrire Samedi 2 3 n o vembre Photogra p Robert D hier la vie quoti die ois permane neau nous conta nne, la rue nt du qu it en ima otid ge d’instants précieux ien’. à nous de p s ‘le spectacle Pour trav artir à la et de ph oto ail re dans ses ler l’instantané u graphier la vie ! cherche tiliser l’hu photogra m p du mouv ement et hies, retranscrire our, la tendress e.. du temps l’énergie . par la ge . stion Samedi 3 L’Homm 0 novembre e Tel un ‘h au cœur du repo umaniste rtage ph ’, te oto en image s ; une b nter de ‘raconte graphique ribe de v r’ l’homm simple ; ie, e pu ressentie is retranscrire pa un moment, une s et pers r des ima rencontre on g d’un hum ain, d’un nelles. Un petit re es sincères, semblab une pers portage le.. on autour humaine ne, la mettre en . pour aprendre à aborde confianc afin d’en e, r dé résultat d e cette b gager des imag tisser une relatio es qui ne n elle renc ontre... { seront qu inscriptio e le Samedi n préala ble souh 7 d aitée} écembre Photogra p Identifier hier à la manière et regrou de Robe p photogra rt Doisn ea phiques er les ingrédients de Robe le temps visuels e u rt t Doisneau d’une pri se , Remonte r le temp de vues pour m se les approprie r s et photo ieux com prendre. graphier ! 9 n conse Campredon centre d’art © Photo Studio JPVC Un peu d’histoire... L’hôtel Donadéï de Campredon est une belle demeure du XVIIIe siècle en partie protégée au titre des Monuments Historiques depuis 1979. Il a été édifié en 1746 pour Charles-Joseph de Campredon, membre d’une vieille famille de propriétaires terriens dont les origines remontent au XIVe siècle. Les plans en furent commandés à Esprit-Joseph Brun, architecte L’Islois de grand talent, à qui l’on doit de nombreuses réalisations à l’Isle-sur-laSorgue, à Aix-en-Provence et à Marseille, dont le château Borely. L’hôtel a été vendu le 18 janvier 1865 par le Marquis de Lespine, héritier des Campredon, aux religieuses de Saint-Charles. Il a été acquis par la ville en 1978. 10 Robert Doisneau Du métier à l’œuvre - Palm Springs 1960 Exposition organisée par la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue en partenariat avec diChroma photography Madrid et l’Atelier Robert Doisneau Du 26 octobre 2013 au 08 février 2014 CAMPREDON Centre d’art - 20, rue du Docteur Tallet 84800 L’Isle-sur-la-Sorgue - France Horaires Ouverture au public du mardi au samedi : 10h-12h30 / 14h-17h30 [Sauf les 1er novembre, 24, 25 et 26 décembre 2013 et 1er janvier 2014] Fermeture des caisses à 12h le midi et à 17h le soir Catalogues Robert Doisneau, Du métier à l’œuvre - Ed. Steidl Robert Doisneau, Palm Springs 1960 - Ed. Flammarion En vente à la librairie Contacts CAMPREDON Centre d’art 20, rue du Docteur Tallet - BP 50038 84801 L’Isle-sur-la-Sorgue cedex 01 Tél. (+33) (0)4 90 38 17 41 Contact Presse Sylvia BEDER Communication Culture : 01 42 18 09 42 e-mail : [email protected] Direction Muriel CATALA / Christine ADAMANTIADIS : 04 90 38 17 41 e-mail : [email protected] www.islesurlasorgue.fr / Facebook Campredon centre d’art Service Culture de la Ville : 04 90 38 67 81 e-mail : culture@ mairie-islesurlasorgue.fr Prochaine exposition : « Vladimir SKODA, de l’intérieur » : 1er mars - 14 juin 2014 En couverture : © Atelier Robert Doisneau - Service communication Mairie de l’Isle-sur-la-Sorgue, Lucile Retourné Tarifs Général : 6 Euros Réduit : 5 Euros (étudiants, groupes de 10 personnes minimum) Gratuit : L’Isloises et L’Islois, chômeurs, Rmistes, moins de 14 ans (hors groupes scolaires), personnes à mobilité réduite Groupes scolaires : Gratuit : écoles L’Isloises - 27 Euros : classes extérieures Conférence & visite guidée : Tarif général : 7,10 Euros - Tarif réduit : 5,10 Euros (L’Islois(es), Rmistes, Chômeurs, PMR) - Gratuit : enfant de moins de 14 ans Atelier adulte photographie : 12,20 Euros Abonnement 3 expositions : 15 Euros