acv des logements au chile
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acv des logements au chile
// Proceedings 2nd LCA Conference, 6-7 November 2012, Lille France // ACV DES LOGEMENTS AU CHILE Muñoz E. (1,3), Cárdenas J.C (2) and Gómez E. (2) (1) Instituto del Medio Ambiente, Universidad of La Frontera, Temuco, Chile, [email protected] (2) Departamento de Ingeniería Química, Universidad of La Frontera, Temuco, Chile (2) Departamento de Ingeniería en Obras Civiles, Universidad of La Frontera, Temuco, Chile Resumé La méthode d’analyse du cycle de vie (ACV) a été appliquée pour évaluer l’impact environnemental pendant tout le cycle de vie de la construction d’un logement. La méthode d’évaluation des impacts CML 2000 a été utilisée pour l’analyse environnementale selon les catégories d’impact suivantes : l’épuisement des ressources abiotiques (kg de Sb eq) et le réchauffement climatique (kg de CO2 eq). La demande cumulative d’énergie a été estimée sur la base de la méthode publiée par EcoInvent, version 2.0. L’évaluation des impacts a été effectuée en utilisant le logiciel SimaPro 7.3. Dans ce travail, l’unité fonctionnelle a été définie comme 1 m2 de terrain habitable, le logement ayant une durée de vie utile de 50 ans (chaque logement de 55,8 m2). Les résultats ont montré que la période d’usage provoque le plus grand impact environnemental : 82,4 % pour l’épuisement des ressources abiotiques, 71,5 % pour le réchauffement climatique et 94 % pour la demande cumulative d’énergie. Les granulés de bois ont été considérés comme une option d’amélioration, puisque son utilisation entraînerait une diminution de 26,2 % de la demande cumulative d’énergie grâce à l’augmentation de l’efficacité des équipements de combustion. Cela est dû principalement à l’inefficacité des systèmes de chauffage au Chili, dont perte d’énergie étant estimée de 60 % (Corporation nationale de l’environnement, CONAMA, 2008). En plus, cette étude suggère l’importance d’améliorer l’efficacité énergétique dans des logements, puisque ceci ne réduirait pas seulement la demande cumulative d’énergie, mais aussi les émissions de GES et l’épuisement des ressources abiotiques