información, preparación y prevención
Transcripción
información, preparación y prevención
N° 36 SEPTIEMBRE / SEPTEMBRE 2013 3.º AÑO / 3e ANNÉE « Cuanto menos se lee, mas daño hace lo que se lee. » Miguel de Unamuno EN ESTE NÚMERO / DANS CE NUMÉRO EDITORIAL EDITIORIAL INFORMACIÓN, PREPARACIÓN Y PREVENCIÓN INFORMACIÓN, PREPARACIÓN Y PREVENCIÓN 1 (INFORMATION, PRÉPARATION ET PRÉVENTION) VIE DE QUARTIER LES PÂQUIS SE RHABILLENT 2 MEDIA ÉCHANGE D’INFORMATION ENTRE DEUX JOURNAUX SUR LA MIGRATION 3 ETHNOLOGIE DES CLICHÉS TRÈS CLICHÉS Entretien avec Boris Wastiau 4-5 DESTACADO CREANDO RELACIONES DE COLABORACIÓN ENTRE ESPAÑA Y SUIZA 6-7 EMPLEO AVS, SEGURO DE VEJEZ Y DE SOBREVIVIENTES 8 PSYCHOLOGIE TRAVAILLER AVEC LES MIGRANTS Entretien avec Angeles Tanoira 9 TESTIMONIO FRÁGIL ESPERANZA ABSOLUTA FORTALEZA 10 EXPRESSIONS LIBRES MERCREDI 17 JUILLET 2013: PROMENADE AVEC LES ÉLÈVES 11 À NOTER 12 E n esta editorial hablaremos de la importancia que tienen estos tres términos, información, preparación y prevención tanto para migrar como para cualquier situación en la vida de una persona. La información evidentemente es el primer paso a la hora de emprender un nuevo proyecto sea cual sea; en el caso de la migración (inmigrar-emigrar), debemos informarnos acerca de los pros y los contra antes de hacer nuestras maletas y partir rumbo a un país desconocido. Si estamos planeando, ya sea, una primera o segunda migración es necesario saber cuál es la situación real del país al que nos dirigimos, es decir que sepas dónde, cómo, porqué y para qué lo haces, qué idioma hablan, si se puede encontrar un alojamiento, si tienes una profesión ¿tendrá validez en el nuevo país?, las condiciones laborales, las condiciones climáticas, etc. Muchas veces no reflexionamos antes de partir y hacemos caso de comentarios que de ninguna manera reflejan la realidad. Leer la prensa o escuchar los informativos en radio y televisión nos ayudarán a tener una visión más amplia de la realidad, también es importante dirigirse a las instituciones y/o asociaciones proinmigrantes, ya que, es ahí donde se puede encontrar información actual y cierta, no debemos conformarnos con escuchar una sola opinión. Una vez que estemos bien informados y si en realidad seguimos con la idea de emigrar debemos seguir con el siguiente paso, la preparación, no podemos partir sin un objetivo, MIRNA QUISBERT REDACTORA JEFE sin un destino, sin conocer nada ni nadie, aceptando riesgos innecesarios, sin pensar en lo duro que puede resultar encontrarse en un nuevo lugar sin ningún apoyo. El próximo paso a dar es la prevención, prevenir es estar un paso adelante frente a los inconvenientes o problemas que podamos encontrar en nuestro nuevo destino como ser el idioma que es una barrera, quizá, la más importante a la hora de establecerse, relacionarse y lo más importante buscar trabajo, no siempre es fácil encontrar un trabajo si no conoces el idioma del país en el que estas y si lo encuentras ten la seguridad que será un trabajo mal remunerado y lamentablemente sufrirás explotación como muchos otros que llegaron desconociendo la situación y que tuvieron que aceptar un trabajo con salarios bajos o simplemente trabajar a cambio de un techo y comida. Nuestra intención, no es persuadir a los futuros migrantes, sino más bien, el de ofrecer pautas para que si tomaste la decisión de partir no lo hagas arriesgando tu integridad y creyendo que llegaras a una ciudad de ensueño donde todo es color de rosa, no siempre es así, la asociación Espace Solidaire Pâquis y Entre Dos Mundos quiere que tengas en cuenta estos tres factores, aunque no son los únicos, para que cuando llegues no te sorprenda una realidad diferente a la que pensaste encontrar. La situación actual es difícil, todos lo sabemos, y es menester informar, preparar y prevenir para evitar sufrimientos futuros, si todos ayudamos en esta tarea, tanto migrantes como nacionales saldremos beneficiados. VIE DE QUARTIER LES PÂQUIS SE RHABILLENT DELPHINE LUCHETTA, LES PÂQUIS SE RHABILLENT F aire du tricot n’est aujourd’hui plus seulement une simple activité domestique ou un passe-temps mais s’inscrit aussi dans un mouvement de revendication de plus en plus répandu dans les villes du monde entier. Ce movement, c’est le “craftivisme”, de l’anglais “craft” qui signifie artisanat et où le travail manuel tels que la couture ou le bricolage servent de trame à des actions subversives. Ainsi des femmes (pour l’essentiel) se réunissent et occupent des lieux publics afin de rendre visible ce qui est habituellement confiné à la sphère privée. ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 Au fil des mois, tous les participants et participantes réaliseront de grands patchworks de tricot qui seront accrochés autour de certains objets urbains du quartier. L’aboutissement du projet sera célébré le samedi 14 juin 2014, date de la semaine internationale du tricot. Le matériel (aiguilles et laine) est mis à disposition lors des rencontres qui sont annoncées sur le profil Facebook de Les Pâquis se rhabillent (www.facebook.com/ LesPaquisSeRhabillent). Vous pouvez également venir chercher un kit de tricot gratuit à la réception des Résidences Notre -Dame aux adresses suivantes : Résidence Notre-Dame Rue de Lausanne 48 1201 Genève C’est dans cette idée qu’est né Les Pâquis se rhabillent, un projet associatif consistant à recouvrir de tricot des objets urbains dans le quartier des Pâquis. A travers cette action se dessine un magnifique prétexte pour tisser des liens entre les différentes cultures qui peuplent le quartier. Il invite usagers et habitants à se rencontrer, échanger et collaborer autour d’un concept commun. Pour ce faire, commerçants et associations, EMS Plantamour Rue Philippe-Plantamour 7 1201 Genève dont l’Espace Solidaire Pâquis, se proposent d’accueillir les intéressés à se retrouver pour tricoter et tisser des liens dans des lieux atypiques. Une fois le tricot terminé, vous pouvez le ramener aux mêmes adresses. Alors, à vos aiguilles ! Dès le 1 septembre 2013 Du lundi au vendredi de 8h30 à 17h 2 Participantes et participants de tous les âges se sont réunis cet été à l’une des actions organisées par « Les Pâquis se rhabillent » au Temple des Pâquis | © Espace Solidaire Pâquis MEDIA ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 ÉCHANGE D’INFORMATION ENTRE DEUX JOURNAUX SUR LA MIGRATION PABLO CRUZ DURÁN Alexander Sancho-Rauschel est un journaliste indépendant, originaire de Forêt-Noire en Allemagne près de la frontière française, qui travaille comme nous à diffuser la parole des migrants. En visite au Temple des Pâquis au mois d’août, il a accepté un entretien avec notre truculent rédacteur Pablo Cruz Dur án. Ce dernier s’est appliqué à livrer son compte-rendu en français, un exercice difficile pour lui qui est hispanophone et ne connaît la langue que depuis quelques années. Admirez le travail ! 3 Alexander Sancho-Rauschel (à gauche), ici dans nos bureaux avec Dominique Hiestand de l’Espace Solidaire Pâquis | © Entre Dos Mundos O riginaire de la ville de Friburg-en-Brisgau en Allemagne, Alexander Sancho-Rauschel, journaliste indépendant, historien et scénariste, entre autres choses, raconte son expérience sur la réalisation d’un journal avec les mêmes caractéristiques que les nôtres à Genève. Journaliste de profession, avec des nombreuses années d’expérience, membre correspondant d’une station de radio, Alexander, avec d’autres amis, a eu l’idée de créer un journal qui prend en compte la problématique des migrants de cette ville, pour donner aux gens une voix active dans la société (en Allemagne) et travailler pour faire valoir leurs droits. « La question des migrants est autrement par rapport à Genève : le droit de vote, la double nationalité, l’accès à l’enseignement supérieur », nous dit Alexander. Lorsqu’on lui a demandé la raison de sa présence dans l’Espace Solidaire des Pâquis, il nous répond qu’il est ici pour faire un portrait du quartier des Pâquis. Cette idée est née comme quelque chose de grand. Genève, c’était le début de son travail, mais elle a été abandonnée pour simplifier la méthodologie d’investigation. Alexandre a pu rencontrer au moins une trentaine de personnalités. Leurs témoignages signifient un très riche matériel descriptif de la multi-culturalité et des expressions libres du quartier. « C’est admirable l’accessibilité qu’ont les gens pour donner quelques minutes de leur temps. Des politiciens, des personnalités agissent comme des ci- toyens ordinaires », commente notre visiteur qui continue, « Cela ne se produit pas dans d’autres pays. De plus, il y a un protocole à suivre donc il faut un peu de temps pour s’entretenir avec les autorités ». Le journal où notre ami travaille est financé par l’état allemand et certaines institutions privées (des fondations). L’éditorial a ses directives de travail qui sont bien définies au moment de confectionner le journal. Entre autre, il y a « l’immunité des textes », ce qui veut dire que les textes sont gardés tels quels, dans leur style original, écrit à la main. Les corrections orthographiques sont appliquées de façon ponctuelle. Une idée est survenue entre Alexander, les coordinateurs de l’Espace Solidaire et les coordinateurs d’Entre Dos Mundos. Celle-ci consiste en un échange d’expériences, des textes, des d’informations. Donc oui ! Un échange d’étudiants et de stagiaires au journalisme, ce sera bientôt possible. Certaines étapes préliminaires sont nécessaires pour donner forme et démarrer cette excitante idée. A nouveau, une rencontre improbable donne accès au journal Entre dos Mundos à une étape de développement plus approfondie, pour aller de l’avant dans l’engagement du journalisme. Le journal à Fribourg-en-Brisgau, en Allemagne, et le nôtre, à Genève en Suisse, ont désormais un défi en commun: des échanges professionnels qui auront lieu, visant à améliorer l’engagement pour le bénéfice de ceux qui ont besoin de sortir de l’anonymat. ETHNOLOGIE ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 DES CLICHÉS TRÈS CLICHÉS Entretien avec Boris Wastiau, directeur du Musée d’Ethnographie de Genève (MEG) DELPHINE LUCHETTA Jusqu’au 30 septembre prochain, le parc Bertrand accueille une exposition de photographies anciennes, datant de l’ère du colonialisme, qui interrogent notre conception de l’exotisme. Comment les Européens de la fin du XiXe siècle voyaient-ils le monde ? Comment leur vision continue-t-elle d’influencer ou non celle des Européens d’aujourd’hui ? Ne subsiste-t-il pas quelques clichés tenaces au sujet des pays du Sud ? C’est pour aborder entre autre ces questions que nous avons décidé de rencontrer Boris Wastiau, directeur du Musée d’Ethnographie de Genève, qui s’est aimablement prêté à un entretien.Visite guidée donc d’une exposition qui ne laisse pas indifférent. 4 ENTRE DOS MUNDOS: Quel est l’objet de cette exposition ? BORIS WASTIAU: Cette exposition est un exercice critique sur des photographies anciennes, principalement de la fin du XIXe siècle et du début du XXe siècle, qui interroge sur les clichés exotiques. Qu’est-ce qu’évoquent ces photographies, la photographie étant toujours marquée par son époque. Tout un chacun apprend à écrire, à lire et à regarder des photographies, notamment commerciales. La publicité touristique « tourdemondiste » des magazines a imprimé une image du monde, des personnes et des sociétés que l’Europe consomme depuis plus d’un siècle. Depuis une trentaine, tout ceci est très critiqué, la culture visuelle européenne est peu à peu mise en cause. Ici, pour cette exposition, la question est de savoir si ces photographies anciennes conditionnent encore notre vision, si elles sont si différentes de celles qui sont faites aujourd’hui dans le tourisme. Qu’est-ce qui fait vendre, qu’est-ce qui fait rêver les gens ? Qu’est-ce qui fait qu’ils vont acheter un voyage pour telle ou telle destination lointaine. Il existe certains clichés, notamment la belle plage, les cocotiers et le soleil, comme si le bonheur n’était possible que là où il y a du soleil et où le sable est vraiment fin. Ce à quoi s’ajoute l’image de la femme exotique plus ou moins dénudée, affriolante, accueillante et ouverte aux étrangers de passage. Ce type de clichés a pour origine la fin du XIXe et le début du XXe siècle à travers les photographies que les gens s’offraient en voyage. Le mot même de « touriste » vient du fait que l’on ait inventé le concept de tour du monde, avec entre autre Thomas Cook ou Jules Verne et ses 80 jours. Les voyageurs fortunés se faisaient offrir des tours du monde. Il s’est alors développé un marché de la photographie qui véhiculait des clichés à proprement parler des endroits visités. Les gens prenaient ce qu’on leur donnait parce qu’ils n’avaient pas les compétences techniques pour s’équiper avec leur propre caméra. Le matériel était lourd et expérimental à cette époque où il n’existait pas encore de pellicule souple qui a permis plus tard la miniaturisation des appareils. ture des photographies, sur le mode de la comparaison d’une photo avec sa copie légèrement retouchée ou recadrée... B.W.: Les commissaires de cette exposition ont voulu montrer comment notre perception est influencé par la manière avec laquelle est présentée une photographie. Par exemple, il a un jeune homme dont je ne me souviens plus de l’origine, et sur un même panneau, on voit la même photo de lui. L’une est présentée dans un petit cadre sur une (Suite page 5) E2M: L’exposition propose une relec- « Il existe certains clichés, notamment la belle plage, les cocotiers et le soleil, comme si le bonheur n’était possible que là où il y a du soleil et où le sable est vraiment fin. Ce à quoi s’ajoute l’image de la femme exotique plus ou moins dénudée, affriolante, accueillante et ouverte aux étrangers de passage. » Boris Wastiau, directeur du Musée d’Ethnographie de Genève, ici devant l’entrée du musée, avant les travaux d’agrandissement qui s’achèveront en 2014 | © MEG ETHNOLOGIE (Suite de la page 4) chambre à coucher, l’autre dans un bureau. On voit tout de suite que cela ne produit pas le même effet. On va imaginer ce que la personne est. E2M: Il est dit que la plupart de ces modèles étaient payés ou recrutés parfois de force et que les prises de vue étaient faites en studio. On peut se demander comment un Polynésien à cet époque se retrouve comme ça à Paris... B.W.: Cela suscite évidemment beaucoup d’interrogations, notamment sur la fabrication et la provenance des photographies. Aujourd’hui non seulement on consomme beaucoup d’images mais on en produit aussi beaucoup à travers les ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 réseaux sociaux et Instagram, par exemple, ce qui désacralise beaucoup l’art photographique. Les sources ne sont pas créditées ou vérifiées. Et tout le monde est capable de faire des retouches. Lors de conflits armés ou d’accidents d’envergure nationale, comme un déraillement de train, les média sont inondés de photographies amateur et on découvre malheureusement trop tard que certaines d’entre elles ont deux ans d’existence ou qu’elles ont été faites à un tout autre endroit. Je pense à la catastrophe ferroviaire qu’il y a eu récemment en France. Certaines photos utilisées avaient été prises en Russie lors d’une autre catastrophe qui n’avait rien à voir ! E2M: Vous aviez sans doute cons- « Aujourd’hui, non seulement on consomme beaucoup d’images mais on en produit aussi beaucoup à travers les réseaux sociaux et Instagram, par exemple, ce qui désacralise beaucoup l’art photographique. Les sources ne sont pas créditées ou vérifiées. Et tout le monde est capable de faire des retouches. » A droite, en haut, « la fille de Preanger Java » dans sa version dénudée originale puis, en bas, rhabillée par retouche informatique à la demande des commissaires de l’exposition pour comparaison | © MEG cience de l’impact d’une exposition en plein air avec de telles photographies. D’autant plus qu’il s’agit du Parc Bertrand, un quartier huppé qui se trouve être l’ancienne propriété de Monsieur Bertrand, celui qui avait collectionné il y a un siècle, les photos exposée. Que pouvez-vous en dire ? B.W.: Le Parc Bertand est un peu le Parc Monceau genevois [Monceau est un célèbre parc du 8e arrondissement de Paris où se trouve bon nombre d’hôtels et de résidences de luxe, ndlr]. Il y a des stars qui n’habitent pas loin, comme Alain Delon, Isabelle Adjani ! (Il rit) Le Musée n’a pas choisi ce lieu, ce sont les commissaires qui se sont décidés. Exposer hors les murs dans un espace public est effectivement critique. Suivant l’endroit, les réactions peuvent être différentes. Il faut quand même savoir que ce n’est pas toujours évident d’organiser ce genre d’événement en extérieur. Il y a la logistique, les risques de vandalisme, les réactions du public. C’est le défi et toute la richesse de ce type de programmation justement ! 5 DESTACADO ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 CREANDO RELACIONES DE COOPERACIÓN ENTRE ESPAÑA Y SUIZA MIRNA QUISBERT UNIVERSIDAD DE CÓRDOBA L a entrevista que nos concedió el profesor Manuel Torres Aguilar vicerrector Universidad de Córdoba y director de la Cátedra Unesco de Resolución de Conflictos en España, es solo el primer paso de los muchos que daremos en este proyecto de cooperaciones futuras. Reunidos en una sala de la Universidad de Córdoba, y luego de proceder a las presentaciones pertinentes, hablamos acerca de lo interesante que sería poner en marcha un proyec- 6 to de colaboración entre la Universidad de Córdoba y la asociación Espace Solidaire Pâquis, de tal forma que los alumnos de esta universidad puedan realizar sus prácticas en la asociación. bajo que hacen estas personas. Durante la visita nos mostraron todos los ambientes de que dispone APIC, así como también los servicios que ofrecen a la comunidad de extranjeros, al finalizar el recorrido entramos en una sala que es la que usan para los distintos cursos que realizan, dentro encontramos a los colaboradores quienes nos explicaron cuál era la función que desempeñan en la asociación, como ser: el servicio jurídico, psicológico, orientación laboral, cursos de español, inglés, francés, italiano, el trabajo se sensibilización en colegios, los cursos de cocina. Por cierto una vez terminada las presentaciones por parte de ambas asociaciones nos ofrecieron un exquisito aperitivo de platos típicos de la ciudad de Córdoba, el gazpacho, la tortilla de patatas, el flamenquín. Los alumnos del curso de cocina se mostraron diligentes y nos ofrecieron esos platos preparados por ellos mismos. También expusimos los proyectos de colaboración que queremos realizar con ellos y por nuestra parte agradecimos enormemente el recibimiento ofrecido, prometiendo que nos volveremos a encontrar y trabajar juntos. CÓRDOBA ACOGE Lo que se pretende con este proyecto es sensibilizar a los estudiantes ante la realidad migratoria así como también aumentar sus horizontes laborales con el conocimiento de otra cultura, otra lengua y al mismo tiempo que estos aporten sus conocimientos en la resolución de conflictos y cultura de paz en nuestra asociación. La visita fue corta pero productiva, y nos fuimos con el compromiso de volver. Agradecemos al profesor Manuel Torres por habernos recibido a pesar de su apretada agenda e invitamos a visitar nuestra sede en Ginebra. ASOCIACIÓN PRO-INMIGRANTES DE CÓRDOBA (APIC) L a visita realizada a esta asociación fue extraordinaria, el recibimiento de Axel Rodríguez, director de APIC (Asociación Pro-Inmigrantes de Córdoba), así como de todo su equipo fue cordial y abierto. Desde el momento en que entramos pudimos apreciar el tra- L ucia Pérez, coordinadora de la Córdoba ACOGE, una persona activa y apasionada con su trabajo nos recibió muy gentilmente y después de las respectivas presentaciones nos habló de la asociación la cual tiene como objetivo principal luchar por los derechos de los inmigrantes y nacionales que retornan después de haber emigrado, nos mostró las dependencias y también nos contó sobre los diferentes servicios de que disponen que son entre otros: el área jurídica, área psicológica, orientación laboral, preparación de distintos cursos de acuerdo a las necesidades de los usuarios, así mismo disponen de una casa de acogida para inmigrantes menores no acompañados, es decir sin familia. Ella y los demás trabajadores y voluntarios luchan por conseguir el respeto de la dignidad del ser humano realizando un trabajo complicado tomando en cuenta la actual situación económica que atraviesa España. DESTACADO ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 1 2 1 : La Universidad de Córdoba 2 : En las oficinas de APIC con director Axel Rodríguez (a la derecha) 3 : En la sala de clase de español con Kathy, coordinadora de voluntarios de APIC (a la derecha) 4 : El flamenquín es un plato de origen Córdobes. Consiste en trozos de jamón serrano enrollados en lomo de cerdo, rebozado en pan rallado y posteriormente frito. 3 5 : Delante de la entrada de la Córdoba ACOGE 6 : Anuncios de la permanencia jurídica en español de la Córdoba ACOGE 7 7 : Francis Hickel, director de Espacio Solidario Pâquis, con Lucia Pérez, coordinadora de la Córdoba ACOGE 8 : Lucia Pérez (a la izquierda) con el equipo de Espacio Solidario Pâquis y Mirna Quisbert 4 © Entre Dos Mundos 5 7 6 8 EMPLEO AVS, SEGURO DE VEJEZ Y DE SOBREVIVIENTES ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 las personas aseguradas llegan a la edad indicada, dejan de trabajar y se jubilan. A pesar de esto, de todas maneras una franquicia les es aplicada. ROSSIO PAOLA ROJAS TORRES Y a que vivimos en Suiza, es muy importante conocer los seguros sociales que existen, uno de los cuales cotizamos muy regularmente es el seguro del AVS. Empiezo por explicar que sólo las personas que están aseguradas bajo este régimen, tienen derecho a pagarlo. El monto de este seguro no lo decide uno mismo, sino que es dictado por las leyes Suizas. No todas las personas tienen que cotizar esto, la ley distingue entre los asegurados que ejercen una actividad lucrativa y no lucrativa. Las personas que ejercen una actividad lucrativa tienen que pagar esta cotización, desde el comienzo del año, es decir desde el 1ro de Enero y tiene que tener 17 años cumplidos. Claro que también hay excepciones, y se las voy a explicar en 3 ejemplos: 1er ejemplo, los miembros de una familia trabajando en una empresa familiar, que no perciben ningún tipo de salario en especies (monedas y billetes), sólo podrán cotizar 3 años después. 8 Es decir a partir del 1ro de enero, del año de cumplimiento de 20 años. 2do ejemplo, lo mismo pasa con las personas mayores que ya están en jubilación (hombres 65 años, mujeres 64 años), no deben de pagar el AVS si trabajan en una empresa familiar y si no reciben ningún tipo de salario en especies. 3er ejemplo, una persona casada, de cualquier edad que sea y que trabaja en una empresa de su pareja no paga ninguna cotización a menos que reciba el salario en especies. En realidad hay otras maneras de pagar el salario, ya sea estando alojado y teniendo de comer, vestirse, etc. Vale precisar que son considerados como miembros de una empresa familiar: la esposa, el esposo, los padres, el o la cónyuge, los hermanos, hermanas. En fin de cotizaciones para las personas que ejercen una actividad lucrativa cuando terminan cuando Ejemplo de tarjeta de AVS | © Yannick Buffet/domainepublic.ch Ahora que pasa cuando en una pareja cuando el esposo trabaja a 100% y ejerce una actividad lucrativa y la esposa no tienen ningún trabajo lucrativo, en este caso el esposo tiene que pagar doble de la cotización, así lo de la esposa está cubierto,. O Vice-versa. El sexo no tiene importancia. Derecho a la renta de Viuda, Viudo, Huérfano, Huérfana: Si el esposo de una mujer casada muere, entonces ella tiene derecho a una renta de viuda. Las condiciones son las siguientes: si ella tiene uno o más niños, (18 años), también tiene un derecho de recibir una renta de huérfano o huérfana. O si ella tiene 45 años cumplidos y que ha habido un matrimonio de al menos 5 años, o si el menor de los hijos todavía no tiene 18 años cumplidos. En el caso de un viudo, sólo cuando la esposa falleció, y cuando tiene hijos menores que 18 años. Las rentas mensuales de la viuda, o del viudo son CHF 936 como mínimo y CHF 1872 como máximo. Las rentas para los huérfanos hasta los 18 años o 25 años en caso de que sigan estudiando son CHF 468 como mínimo y CHF 936 como máximo. « Ahora que pasa cuando en una pareja cuando el esposo trabaja a 100% y ejerce una actividad lucrativa y la esposa no tienen ningún trabajo lucrativo, en este caso el esposo tiene que pagar doble de la cotización, así lo de la esposa está cubierto, o viceversa. El sexo no tiene importancia. » PSYCHOLOGIE ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 TRAVAILLER AVEC LES MIGRANTS Entretien avec Angeles Tanoira, psychologue et responsable de la permanence d’écoute de l’Espace Solidaire Pâquis PAR DELPHINE LUCHETTA ET JEAN-BAPTISE LASSERRE La permanence de l’Espace Solidaire Pâquis reçoit du lundi au vendredi les personnes migrantes en difficulté, mais aussi toutes celles qui se retrouvent sans domicile ou en rupture sociale. Autant de trajectoires iet de récits complexes parfois tragiques que ce lieu permet d’accueillir, grâce notamment à sa responsable, Angeles Tanoira, psychologue d’origine argentine. Elle a bien voulu répondre à quelques-unes de nos questions. En français, s’il vous plaît ! ENTRE DOS MUNDOS: Depuis combien de temps travaillez-vous à l’Espace Solidaire Pâquis? ANGELES TANOIRA: 5 mois. E2M: Décrivez-nous votre métier... A.T.: Je suis psychologue et la psychologie est l’étude du mental. Il s’occupe aussi de traiter les différents difficultés émotionnels, sociaux et d’adaptation. L’anxiété, l’angoisse et tous les soucis dont les personnes peuvent souffrir à certains moments de la vie. Ici on traite particulièrement les problématiques d’adaptation culturelle. E2M: Qu’apporte votre travail aux usagers du Temple des Pâquis ? A.T.: Au Temple, le travail est différent de celui en cabinet. On a un rôle un peu plus flexible. Il faut s’adapter à la population de cet endroit qui est différent. Je crois que dans la psychologie, les professionnels doivent savoir s’adapter. Ici les gens ne demandent pas spontanément de l’aide, alors je ne dis pas forcément que je suis psychologue. Une relation de confiance s’établit d’abord entre le personnel et les personnes qui viennent tous les jours recevoir de l’aide. Avec le temps, la confiance grandit et je peux développer un peu plus mon rôle de psychologue. Mais au départ, les personnes demandent avant tout de l’aide pour les papiers, pour trouver du travail, un logement, pour apprendre le français. Il y a d’autres urgences prioritaires sans relation avec la psychologie. E2M: Comment les gens finissent-ils alors par avoir recours à l’aide psychologique ? A.T.: J’écoute simplement les gens et peut-être à la fin, je leur dis que s’ils ont besoin d’aide, je suis psychologue, même si ce n’est pas ce que je dis en premier lieu. Le travail du psychologue est souvent associé à la folie ou à la maladie… E2M: Il y a des préjugés ? A.T.: Oui, comme dans toutes les professions. C’est pour ça que je préfère me montrer disponible au début, simplement pour parler, sans me donner un titre particulier. Quelque fois la psychologie donne un sentiment de hiérarchie où une personne sait plus de choses que l’autre. Ici cela ne marche pas. Il n’y a pas de relation de pouvoir ou de conseils rigides. Il y a seulement de l’écoute. Les gens viennent de cultures La psychologue, Angeles Tanoira, dans le jardin du Temple des Pâquis | © Entre Dos Mundos très différentes. Chacun a sa façon de voir le monde. E2M: Quels sont les cas les plus difficiles que vous rencontrez ? A.T.: Les personnes qui arrivent au Temple ont beaucoup de problèmes structurels. Ils n’ont pas de logement ou de travail sûrs. Je découvre aussi qu’ils ont d’autres problèmes, parfois liés à la violence domestique, à l’alcoolisme, aux drogues. Il y a des situations parfois très difficiles, mais ce n’est pas évident de faire un suivi. Quelques personnes avec qui il y a une relation de confiance, viennent régulièrement, toutes les semaines, mais ce n’est pas la majorité. E2M: Ce n’est une démarche forcément facile d’aller voir un psychologue... A.T.: Ce n’est pas pour tout le monde. Les gens ne sont pas tous disposés ou disponibles pour exposer leurs émotions et travailler avec soi-même. Voilà pourquoi on s’adapte beaucoup. Il existe différents niveaux d’écoute. On peut donner un accompagnement pendant quelques semaines, comme on le fait le plus souvent ici. Certaines personnes finissent par demander un peu plus. Ce n’est pas le même type de traitement pour tout le monde. Il y en a qui demandent un espace un peu plus intime et un peu plus profond. On doit trouver ce dont chaque personne a besoin réellement. Au Temple, il y a un rapport entre les personnes naturellement un peu plus fermé. Compte tenu des difficultés que rencontrent les populations migrantes, les gens ne peuvent pas avoir le cœur sur la main. Arriver ici est une situation nouvelle pour les étrangers. Il y a des gens qu’ils ne connaissent pas. Il y a beaucoup de risques, de dangers. C’est une mécanisme de défense de ne pas tout donner la première fois. Quand je rencontre quelqu’un qui me dit tout au bout de seulement quinze minutes, je me dis que cette personne n’a pas beaucoup de système de défense et cela peut être dangereux pour elle. Etre fermé n’est pas forcément toujours négatif. 9 TESTIMONIO ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 FRÁGIL ESPERANZA ABSOLUTA FORTALEZA M MABEL VEGA e encuentro conduciendo a lo largo de la autovía, alrededor de 8 horas sin tomarme un respiro, ya que mi objetivo es llegar a mi destino “Suiza”, para algunos es un Paraíso Fiscal y sin duda alguna, uno de los países más desarrollados del mundo, que alberga gran cantidad de inmigrantes de varios continentes, por lo que es considerado como uno de los países con mayor diversidad cultural. Para mí es un país que promete oportunidades. No ha sido difícil tomar la decisión de explorar un nuevo territorio, ya que de alguna manera, estoy acostumbrada a probar nuevas oportunidades. A lo largo de mis viajes, he aprendido a adecuarme con facilidad a las distintas situaciones que se me presentan, teniendo siempre en cuenta que es por una causa razonable: mejorar las condiciones de vida de mi entorno familiar, lo cual es muy remoto alcanzar si permanezco en mi país. Sigo conduciendo muy atenta a la señalización vial intentando no cometer errores que me desvíen de mi destino, sin embargo es inevitable pensar, que son muchas las cosas a las cuales he renunciado para el logro de mis objetivos, algunas me hacen daño de sobremanera, especialmente las que están vinculadas directamente con las personas que más quiero y significan mucho para mí, a las cuales me veo obligada a dejar. 10 Pasan las horas y cada vez me alejo más, sin embargo mi mente se embarga de muchas emociones. Las que más peso tienen sobre mí son: las últimas muestras de cariño de mi familia, que se despiden con cierta tristeza y frágil esperanza de un mejor futuro. Es largo el recorrido que he realizado y me siento algo cansada, por lo cual decido parar en un área de servicio que está a mi alcance, para recuperar energías, repasar la ruta y reiniciar el recorrido. Me limito a tomar una Coca Cola porque sé que mi viaje será largo y debo economizar lo más posible. Un poco más despejada decido retomar la ruta, que me conduce al país de las oportunidades, o por lo menos eso creo, sin embargo no estoy tan segura de que sea tan real, pienso que tendrá cierta dificultad, pero prefiero no pensar mucho de momento. Es cierto que he escuchado muchos comentarios anteriormente sobre esa ciudad, la mayoría muy positivos y de alguna manera han influenciado para tomar esta firme decisión de recomenzar, sin embargo también es cierto que la crisis afecta a la economía de muchos países y supongo que esta no será la excepción; espero no llegar demasiado tarde, ya que me angustia la idea de no poder encontrar un trabajo, una oportunidad para mantenerme firme en mi intención de permanecer allí. Pero las horas pasan y cada vez que me acerco más a mi destino mi emoción aumenta con un posi- « A lo largo de mis viajes, he aprendido a adecuarme con facilidad a las distintas situaciones que se me presentan, teniendo siempre en cuenta que es por una causa razonable: mejorar las condiciones de vida de mi entorno familiar, lo cual es muy remoto alcanzar si permanezco en mi país. » tivismo que se aloja en mi mente y espero que nunca se marche. Nuevamente decido parar en un área de descanso, la verdad es que vengo preparada: tengo en el maletero algunos bocadillos, zumo de naranja y muchos botecitos de Lacasei para recuperar energías; descanso un buen momento, mientras voy observando con cierta intranquilidad la carretera, me doy cuenta de cómo los caminos te van conduciendo a diferentes sitios, con tanta velocidad, sin embargo el tiempo es tan frágil, que cada segundo va cambiando por completo toda tu existencia, tu forma de vida, tus costumbres y pensamientos. Otra vez retomo mi viaje, sé que es el último recorrido que debo hacer antes de llegar a la prometedora Suiza, espero llegar sin la necesidad de volver a parar, aunque sé que todavía me queda mucho por recorrer. Es difícil dejar de pensar en los últimos momentos con mi familia, sus palabras de aliento, sus abrazos que me fortalecen y que me servirán mucho cuando me sienta sola. Son las 3 de la mañana hora local me parece que me encuentro a pocos kilómetros, no sé exactamente dónde voy a parar para reposarme y esperar el amanecer. Me han comentado que hay un hermoso lago, con un chorro gigante que se puede divisar desde la distancia, espero encontrar aparcamiento muy cerca del mismo para apreciar el precioso amanecer. “Si !!”, sale un grito de mi interior, cuando me encuentro en frente del lago, decido aparcar y descansar un momento. Después de un buen rato abro los ojos inundada por el reluciente brillo que emana del horizonte, “c’est magnifique”, “c’est fantastique”, “c’est très joli”, sin duda todos los adjetivos en francés que se me ocurren de momento y me siento muy contenta porque he llegado a mi destino. Es precioso el panorama que observo con un reluciente brillo en los ojos. No sé lo que me espera sin embargo estoy segura de que podre sobrepasar todas las barrera. La salida del sol sobre Ginebra | © Mabel Vega EXPRESSIONS LIBRES ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 MERCREDI 17 JUILLET 2013, PROMENADE AVEC LES ÉLÈVES ET PROFESSEURS DU COURS DE FRANÇAIS DE L’ESPACE SOLIDAIRE PÂQUIS Les textes suivants ont été rédigés par des élèves adultes du cours de français de l’Espace Solidaire Pâquis, à la demande de leur professeur, Augustin Lebognon, après une sortie organisée dans la campagne genevoise. Il s’agit d’exercices écrits sur un mode personnel. C’est pourquoi, afin d’en préserver l’authenticité, nous avons préféré les publier tels quels, sans en corriger les éventuelles fautes de syntaxe ou d’orthographe. ISABELLA JOSÉ MARTIN CASTILLO ARAMURÚ Hier, nous avons marché à Lignon. Ont a marché beaucoup, je me fais trop mal. Il y a beaucoup des insectes, à Marisol et moi, les insectes m’ont piqué. Sa fé trop mal, me maintenant ça va. Je mangé trois sanwichs et boire une bouteille d’eau, et aussi deux muslis, tomates aux mozarella et des petis pasteques. J’aime beaucoup la excursion, parce que tout monde sont très gentilles avec moi. Merci beaucoup a touts monde !! On a rigole beaucoup, parle etc. C’est trop cool !! Realizamos una excursión cultural los estudiantes de francés del Espacio Solidario des Paquis. Comenzamos en Jonction hacia Bois de la Batie en Bois de la Batie anduvimos por toda la Riviera hasta llegar a Le Lignon en este lugar descansamos un breve momento para luego continuar hacia Bernex culminar nuestra excursión. Durante este hermoso recorrido pudimos apreciar un lago hermoso, espesa vegetación, clima soleado y las respectivas indicaciones de nuestro guía y jefe. Yo, José Martin estoy muy agradecido con el Centro Cultural Paquis. FRANCISCO SEGURA LORAS Hier, Un día de contacto con la naturaleza que hay alrededor del Rhône? Para mi es algo más importante, no fue solo pasear y disfrutar del paisaje. Lo verdaderamente importante fue estar con las personas amigas, personas que me han ayudado animado tanto en el aprendizaje de la lengua y por qué no decirlo también en mi formación humana. Tratar todo este tiempo con personas de muy procedencias. Un 8 de abril llegué a este país por unas circunstancias económicas difíciles. Este mes de julio retorno a mi país, sin conseguir mi objetivo. Pero con un bagaje de amigos y experiencias superior. Merci beacoupe. EDNA Je ne pas de passeio a rivier, parquai je suis beaucoup de fatigue, j’aime professeur Augustin e Ancelme. Elles foent parte de famille noir. J’adore rouler de velo ao lac Leman. Jonction du lac avec riviere é tres belle, magnifique. Nous allon de vacances, je vas melancolique, sans amies, sans professeur. Eglise du Paqui est ma famille. ADRIANA Je arrive a Geneve a 10 heures, je suis fatigé parce que je me leve a 5 heures et 30. Je espere la prochaine sortie aller a Jardin botanique parce que je aime la naturaleza. J’aime manger pizza et gateau. J’aime voyage pour tout le monde y parler très bien le francais, anglais, chinois et japonais. en pais hay una fiesta de una Virgen de Cotoca que se llama así. Para mi no fue la primera ves, yo estos acostumbrada a caminar, me gusta pasar juntos con el grupo del curso de francés el profesor Anselmo y Augustin, Francis el encargado, después hemos comido sandwiches que hemos tomado, esto lo acompañamos con una Coca Cola, agua baste porque hacia una calor inmensa en realidad lo pasé super bien. De Rhone hubo 2 descansos para comer z hemos visto el Pont Butin antes del segundo descanso antes de Lignon. OCTAVIO GARCIA Hier mardi 16 de juillet aller de promenade avec les professeurs de français et la mayorite de les amis. Il était une promenadé que m’aime beaucoup. Une jolie expertative. Nous partions de jonction 10 heures nous arrivons à Bois de la Bâtie et continue à Lignon et laisse le promenade mais m’aime trop pour tout lui partager. Merci Beaucoup. LUPU FLOREN LUCY De Jonction hasta Bernex hemos empezado a las 9:45 a hacer el recorrido como 5 horas. En primer lugar empezamos de Jonction, hemos recorrido Bois de la Batie después Rhone dentro del forestal al borde lago. En Rhone hemos pasado por el cementerio San George que fue lo mejor que a la vez hacer un ejercicio por perder el colesterol z hemos descansado en LIgnon entre 11 a 11:30, después continuamos a Bernex. Durante de Lignon hemos subido y hemos bajado un largo camino justo hasta llegar Bernex. Yo estoy contenta de hacer esa caminata porque a la ves he recordado en mi pais que se hace en el mes de diciembre para el 8 – 15 casi la misma historia la diferencia que fue que Merci beaucoup a la Association pour la promenade e pour tout. Nous sommes arrives a la Jonction, tout la clase, nous sommes partis dans la forret, a Bois de la Batie. Dans la forret je trouve un sistem ecollogic très joli. Nous avons marche en pleine camps, nous voyons la Rhone, un grand fleuve che marche dans la forret, les animals de forret. Je suis très felice, j’ai passè un jours en bonne sante, touts la classe va mieux. La promenade se termine a Bernex. Nous foisons plusieurs choisse bellè, la foto, mange dans la forret, com sa je peux mourir felice. Merci beaucoup a la director pour la promenade 11 À NOTER ENTRE DOS MUNDOS | N° 36 | Septiembre / Septembre 2013 EXPOSITIONS Bijayashree Samal Chansons de l’Inde Reporters Sans Frontières (RSF) Images pour la liberté d’expression JEAN-BAPTISTE LASSERRE Des chaises métalliques installées face au lac et une scène improvisée sur un ponton: le décor des Aubes musicales est à l’image des Bains des Pâquis qui l’organise. Ce festival attire les mélomanes, les amoureux de la rade, les habitués ou les personnes désireuses d’un moment de calme avant d’attaquer une journée de travail. Pour la troisième année consécutive, les programmateurs des Aubes musicales ont accordé une carte blanche aux Ateliers d'ethnomusicologie, et notamment à Bijayashree Samal et à ses chants traditionnels indiens hindustani. A ne pas manquer. [source : adem] DELPHINE LUCHETTA Bains des Pâquis Quai du Mont-Blanc 30 1201 Genève 022 919 04 94 www.adem.ch MIRNA QUISBERT PABLO CRUZ DURÁN FRANCIS HICKEL 12 CONCERTS Dimanche 1 septembre 2013 6h->7h (!) Entrée libre En effet, un reporter peut être assassiné ou passer plusieurs années en prison pour un article ou une photographie ou simplement en raison de sa nationalité, sans avoir pu faire valoir ses droits. [email protected] [email protected] REDACCIÓN: Mirna Quisbert Redactora jefe Pablo Cruz Durán Periodista, grafista y coordinador Jusqu’à la mi-septembre, il propose en collaboration avec Reporters Sans Frontières (RSF), une série de photographies réalisées par six grands reporters suisses, Reto Albertalli, Christoph Bangert, Thomas Kern, Didier Ruef, Meinrad Schade et Olivier Vogelsang, sur le thème de l’environnement et des conflits à travers le monde. Des affiches, un quiz interactif, des films et un courtmétrage animé « La mort est dans le champ » du dessinateur de presse d’origine pakistanaise, Patrick Chappatte, consacré aux bombes à sous-munition dans le Sud-Liban, compléteront ces œuvres. L’exposition a pour but de sensibiliser le grand public au travail de Reporters Sans Frontières (RSF), ainsi que tous les journalistes de terrain qui parcourent le monde, parfois au prix de leur propre vie. Espace Solidaire Pâquis Rue de Berne, 49 1201 Genève Suisse 022 734 32 38 www.espaquis.ch Centre névralgique et relai touristique situé au cœur de Genève, l’Espace ExpoSIG du Pont de la Machine est un lieu culturel qui organise des expositions temporaires, interactives et pédagogiques. Bijayashree Samal | © adem.ch C’est dans le but de défendre la liberté d’expression de la presse et de protéger les personnes qui prennent des risques pour informer, que RSF, organisation non gouvernementale internationale, a été fondée en 1985. Aujourd’hui, RSF est relayé sur les cinq continents grâce à un réseau de 150 correspondants répartis sur 10 bureaux dans différents pays. Jean-Baptiste Lasserre Periodista y grafista Espace ExpoSIG Delphine Luchetta Periodista y grafista 1204 Genève Francis Hickel Supervisor Pont de la Machine 1 0844 800 808 Jusqu’au 15 septembre 2013 HAN COLABORADO EN ESTE NÚMERO: Mabel Vega, Rossio Paola Rojas Torres Du lundi au vendredi, 9h->17h Samedi et dimanche, 10h->17h Entrée libre
Documentos relacionados
69-Junio2016 4.indd - Espace Solidaire Pâquis
par groupes de 2 ou de 3 de les voir et parler avec eux. Ma camarade Soraya et moi-même avons parlé à un réfugié syrien qui s’appelle M. , qui a 53 ans et qui est ingénieur en électronique. Pendant...
Más detalles