Dossier de presse - Isle sur la Sorgue

Transcripción

Dossier de presse - Isle sur la Sorgue
Robert
Doisneau
Du métier à l’œuvre - Palm Springs 1960
Dossier de presse
Robert
Doisneau
Du métier à l’œuvre Palm Springs 1960
© Atelier Robert Doisneau
Le Centre d’art propose cet automne-hiver, une grande exposition consacrée au photographe Robert Doisneau.
La sélection de 100 épreuves originales noir & blanc, intitulée « Du métier à l’œuvre », a été créée en 2010, pour la Fondation Henri
Cartier Bresson sous le commissariat d’Agnès Sire. Choisies parmi les trésors de l’Atelier Robert Doisneau, ces images ont été réalisées
entre 1930 et 1966, à Paris et dans sa banlieue.
On y retrouvera les clichés légendaires pris aux Halles de Paris, au Pavillon de la viande en 1955, ou ceux du Bal du 14 juillet à la
Bastille, ainsi qu’un choix de portraits célèbres d’enfants et de personnages pittoresques que le photographe a rencontré au gré de ses
pérégrinations : « Le petit tzigane de Montreuil », « L’enfant papillon », « Coco », « Richardot », « Mademoiselle Anita » etc.
Il s’ajoute à cette sélection, trente tirages de la série en couleur « Palm Springs », réalisée en 1960, pour le magazine Fortune.
Le thème du reportage était la construction de golfs à Palm Springs, refuge des riches retraités américains dans le désert du Colorado.
Enfin, sous vitrine, l’exposition sera enrichie, de documents, d’épreuves vintages et d’un tirage moderne du « Baiser de l’hôtel de Ville ».
1
”
Jean-François Chevrier
© Atelier Robert Doisneau
“
Comme tous les familiers de la rue, Doisneau a su fixer cette gravité rayonnante
qui isole un être humain de la foule, ces moments de grâce qui rassemblent
des passants dans « l’illusion d’un instant » comme dans une géométrie de rêve.
Longtemps Robert Doisneau a été perçu comme le
chantre du pittoresque parisien. Illustrateur de génie, il
a su comme personne saisir l’image agréable, l’anecdote
inattendue : on a reconnu en lui le professionnalisme et
la poésie simple de l’instantané. Mais l’œuvre de Robert
Doisneau est infiniment plus complexe.
N’émergeaient pour moi que les icônes joyeuses et
douces illustrant les nombreux livres que je n’avais pas
approfondis. Ce texte apportait une distance nouvelle qui
me poussa à voir plus loin et à comprendre « ce sentiment
d’insuffisance de l’enregistrement photographique […]
constitutif d’un art qui procède de l’émotion », qui,
allié à un besoin de réalisme, fait la force des images de
Doisneau.
Une grande complicité le liait à Henri Cartier-Bresson ;
aussi enfantins l’un que l’autre dans leurs rires, ils ne
manquaient cependant pas de se consulter sérieusement
dès que le métier l’exigeait. « Notre amitié se perd dans la
nuit des temps, écrivait HCB en 1995, nous n’aurons plus
son rire plein de compassion, ni les reparties percutantes
de drôlerie et de profondeur. Jamais de redites, chaque fois
la surprise. Mais sa bonté profonde, l’amour des êtres et
d’une vie modeste, est pour toujours dans son œuvre. ».
Ils n’avaient pas la même conception de la photographie.
À l’imparfait de l’objectif de Doisneau se conjuguant mal
avec L’Imaginaire d’après nature d’un Cartier-Bresson,
plutôt adepte de la rigueur, influencé par la peinture et le
dessin et hostile au recadrage. La revue Le Midi illustré
rapporte que lors des obsèques de Doisneau « CartierBresson a jeté dans la tombe de son copain une moitié de
pomme, puis a croqué l’autre dans un geste de communion
profane », posture qui en dit long sur la fraternité simple
des deux hommes.
C’est donc à l’Atelier Doisneau – l’ancienne maison
familiale de Montrouge – que se sont concentrées mes
recherches. C’est là que sont organisées et gérées les
archives par les deux filles de Robert Doisneau, Annette
et Francine. à cet égard, il faut saluer leur grande
ouverture d’esprit et l’enthousiasme avec lequel elles
ont accueilli ce projet, très curieuses d’accompagner
une approche sans doute différente de l’œuvre de leur
père bien que non exhaustive. J’y ai passé de longues
après-midi – finalement très courtes – à regarder une
multitude de tirages, à pratiquer une sorte d’attention
flottante pour laisser émerger un sentiment d’abord
diffus puis très net : dès que l’on sort du registre du
pittoresque propre à l’illustration – qu’a beaucoup
pratiquée Doisneau pour gagner sa vie –, cette œuvre est
sombre, à commencer par l’une de ses premières images,
prise en 1930, représentant sa chambre, où l’apprenti
photographe dénonçait déjà l’univers petit-bourgeois
qu’il exécrait. Sombre ne veut pas dire inhumain et
encore moins dramatique ; Doisneau ne recherchait
certainement pas la dramatisation forcée des situations.
C’est à la lecture récente d’un livre épuisé de JeanFrançois Chevrier sur Doisneau, qu’il m’apparut qu’il
fallait sans doute regarder l’œuvre plus attentivement.
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Il admirait Atget, – « les images d’Atget ont une rusticité
qui défie le temps » –, les décors de Trauner, et cherchait
au bout de « son rêve » éveillé un profond réalisme,
paradoxe qui fait partie de la complexité du personnage.
En tirant ce fil ténu, l’affaire parut de plus en plus claire :
c’est du côté du Doisneau grave, des pavés tristes, des
architectures banales de banlieue et bien sûr de l’aura
des petites gens que se situait essentiellement l’œuvre.
Le métier, comme souvent, l’avait quelque peu occultée.
« Je vais mourir avec plus de regrets que de remords,
expliquait-il à Sylvain Roumette, et parmi les regrets, il
y aura celui d’avoir dû gagner ma vie avec des boulots
qui m’ont vraiment fatigué. ». Le dur métier, Doisneau
l’a beaucoup pratiqué. Après avoir quitté l’Ecole
Estienne, il fut d’abord apprenti à l’Atelier Ullmann,
spécialisé dans les publicités pharmaceutiques en 1929,
puis embauché comme assistant par André Vigneau en
1931. Il devint ensuite pour cinq ans salarié chez Renault –
« quand je me suis fait virer de Renault, ça a été la guerre » –,
et entra à l’agence Rado-photo (devenue Rapho plus tard)
qui négocia pour lui un contrat de salarié chez Vogue :
il ne s’y sentait pas à l’aise, Doisneau n’aimait pas ce
milieu parisien artificiel de la mode trop loin de lui, il
répugnait à photographier les mannequins bien habillés
dans l’univers des banlieues, mais photographia
pour eux la vie des théâtres parisiens avec un grand
professionnalisme.
spécialiste de l’argot et du monde des bistrots, il aura
l’occasion de photographier de nombreux artistes et
écrivains et de pénétrer le monde nocturne parisien.
La banlieue où il vivait, « les espaces vert-de-gris des
terrains vagues », restera l’espace de prédilection, le
véritable terrain, au sens anthropologique du terme,
qu’il revisitera d’ailleurs, en couleur, missionné par la
DATAR en 1984. C’est dans ces contours de Paris qu’il
exprime toute sa modernité, la banalité d’un monde
entre-deux, exotique mais manquant de cartes postales,
selon ses dires : « L’acidité de la banlieue peut aussi bien
digérer un champ d’épandage qu’un chantier de casseurs
de voitures. »
Robert Doisneau a subi lourdement le salariat, mais
le travail, l’apprentissage des techniques de studio,
les méthodes d’éclairage ne furent cependant pas
une expérience vaine. Il y a glané de nombreuses
informations, a rencontré chez Vigneau beaucoup
de personnages qui l’ont ému et, curieux de nature,
il a su chaparder des moments privés sur le temps
imparti aux commandes, le fameux « regard oblique ».
à diverses reprises, on note d’ailleurs dans ses écrits
une légère amertume sur le fait d’avoir dû se plier à
tant de travaux, et bien sûr un sentiment d’injustice,
ou du moins une certaine défiance envers tous ceux qui
ont photographié les usines, par exemple, hors de tout
contexte social : « Après eux ( Jacob Riis et Lewis Hine)
de nombreux dégagés-de-toute-préoccupation-sociale sont
venus essayer leur virtuosité sur les terrains de l’industrie »,
ironisait-il ; il ajoute ailleurs : « Cartier-Bresson n’a
pas de grand sac, il est léger, il passe comme un farfadet !
J’aimerais savoir pourquoi il photographie, il faudra
que je le lui demande. ». Il faut noter que Doisneau,
homme très chaleureux s’il en est, maniait parfaitement
la critique, et sa lucidité n’avait d’égal que son plaisir
à regarder.
Il se décrivait comme « un faux témoin » qui s’est
constitué « son petit théâtre » dans le but de prouver
que son monde existe, que ce soit celui du rêve, « la
photographie, c’est souvent comme la continuation d’un
rêve », ou celui d’une réalité projetée, lorsqu’il voit
une scène et la fait rejouer pour la photographier. à cet
égard, la comparaison qu’il établit entre le photographe
de rue et le saltimbanque est extrêmement intéressante :
« Les cadrages décidés par le montreur d’images sont tout
à fait comparables aux rectangles que se taillent sur la
voie publique les banquistes avec leurs tapis et les forains
avec leurs baraques, pour en faire ce que les urbanistes
ont appelé les espaces ludiques. » De là à envisager la
photographie comme « un espace ludique », dans un
cadre relativement aléatoire, lié aux espaces autorisés,
on comprend d’autant mieux l’extrême « souplesse » de
Doisneau sur la question du cadrage: photographiées
au format 6 x 6 dans la plupart des cas, les images
étaient recadrées ensuite pour s’adapter aux pages
des publications. Même dans le cas du livre essentiel
de 1949 La Banlieue de Paris, concocté avec Blaise
Cendrars, quelques images y sont reproduites avec des
cadrages qui ne les mettent pas toujours en valeur. En
faisant des recherches à l’Atelier, on voit bien à quel
point une image peut se présenter sous de multiples
versions, bien que tirées par l’auteur, et rarement bien
sûr dans son format carré initial. La conception du
fameux « rectangle » a fait couler beaucoup d’encre
parmi les photographes du réel : il est un « moment de
grâce » pour Sergio Larrain, « le jeu étant d’organiser le
rectangle » ou bien l’art de « mettre sur la même ligne
de mire la tête, l’œil et le cœur » pour H. C.B., ou encore
« une lettre de l’alphabet pour entrer dans la mémoire
des gens » pour Doisneau le graveur, qui avait davantage
une attitude de pêcheur à la ligne que de chasseur qui
tire, ce qui induit une temporalité très différente.
Il cherchait des preuves de l’existence de son monde ;
il cherchait à « inscrire » comme le dit judicieusement
Chevrier, « sa géographie secrète », comme on grave
dans un arbre. Il voulait planter le décor de ses
pérégrinations, et humer la chaleur relative de la banalité
quotidienne à laquelle il voulait croire. C’est toujours
en ironisant sur lui-même que Doisneau abordait son
travail, qui n’était pour lui que l’antidote à l’angoisse
de ne pas être. Jongleur, funambule, illusionniste pour
encore plus de réalisme, tel est le paradoxe trompeur
de celui qui voulait « réussir ses tours comme le font
les artistes du trottoir », avec la lucidité pudique d’un
artiste malgré lui.
Plus tard, il deviendra photographe indépendant,
toujours représenté par Rapho, et au fil des rencontres,
comme celle avec Pierre Betz, créateur de la revue
littéraire Le Point, ou celle avec Robert Giraud, poète
Agnès Sire
Commissaire de l’exposition
Pendant la guerre, il fallait prendre les rares commandes
qui se présentaient pour survivre (sa femme Pierrette
était enceinte d’Annette) et ses compétences de
graveur lui permirent d’aider la Résistance en faisant
de nombreux faux papiers. L’anecdote sur Serge
Dobkovsky, l’inconnu pressé d’obtenir des papiers,
qui repartit de la maison Doisneau avec ceux du
photographe – qui manquait de temps pour lui en
fabriquer d’autres – est assez révélatrice de l’esprit du
bonhomme : « Dobko » devint un grand ami, le vrai et
le faux Doisneau ne se sont plus quittés.
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© Atelier Robert Doisneau
Robert Doisneau et l’Amérique
Depuis l’après guerre Robert Doisneau travaille régulièrement
avec la presse américaine. C’est pour une commande de Life,
en 1950, qu’il a réalisé celle qui deviendra sa photo la plus
célèbre: « le baiser de l’hôtel de ville ». Rapho lui passe souvent
des commandes pour le New York Times, Life ou Fortune.
Là bas, ses images sont également entrées au Musée.
En 1948 il a participé à une exposition sur la photographie
française à New York avec Edouard Boubat, André Papillon,
Willy Ronis.
En 1951 c’est au MoMA de New York qu’il est exposé en
compagnie de Brassai, Willy Ronis, Henri Cartier-Bresson et
Izis.
Pourtant en 1960, il n’a jamais traversé l’Atlantique. Faute de
moyens, il a laissé les photographies voyager à sa place.
la construction de golfs à Palm Springs, refuge des riches
retraités américains dans le désert du Colorado.
Après une journée passée à New York, il arrive à Palm Springs
le 21 novembre.
Il y restera jusqu’au 1er décembre. Ce qu’il découvre là bas
l’incite à dépasser largement le thème du reportage. Au delà
de l’empiètement des greens sur un territoire aride, il dresse un
portrait amusé d’une planète artificielle repeinte aux couleurs
les plus suaves. Il utilise tout à tour un Rolleiflex, un Leica et
un Hasselblad et, pour la première fois se sert de la pellicule
couleurs à des fins résolument esthétiques.
Le 2 décembre il est à Hollywood dans les studios de la
Paramount où Jerry Lewis tourne « le tombeur de ces dames ».
Une semaine de prises de vues compliquées par les Syndicats
américains qui délèguent à tout photographe étranger invité,
un confrère américain qui le suit comme une ombre.
Robert Doisneau quitte Los Angelés le 9 décembre pour
rejoindre enfin Maurice Baquet à New York où ils réaliseront
comme ils l’avaient rêvé, une série de prises de vues jusqu’au
17 décembre, date du retour vers Paris. New York sous la
neige leur a offert des superbes décors qui ne suffiront pas à
convaincre les éditeurs.
Le livre commencé en 1957 sera édité 25 ans plus tard par
Georges Herscher sous le titre « Ballade pour violoncelle et
chambre noire ». Decrescendo, temps de pause.
Depuis 1957 Robert Doisneau et Maurice Baquet travaillent à
un projet de livre dont le titre envisagé est d’abord « On dirait
du veau » puis, plus raisonnablement « Violoncelle slalom ».
Ils ont déjà accumulé de nombreuses images réalisant une
biographie décalée de Maurice Baquet joyeusement délirante.
Au mois de juin 1960 Maurice Baquet part en tournée à
New York jouer « la Plume de ma tante » de Robert Dhéry.
Le spectacle remporte un vif succès et restera plusieurs mois à
l’affiche à Broadway. Dès son arrivée Maurice demande à son
ami Robert de venir le rejoindre pour découvrir New York, qui
l’enchante, et dont il imagine que les décors seront une source
d’inspiration pour le photographe lui permettant d’enrichir
leur projet de livre.
Robert Doisneau retournera deux fois aux Etats Unis. En
mars1966 à l’occasion d’une commande de reportage sur
Montréal, Doisneau retrouve Charles Rado à New York où
il passe 3 jours à la découverte essentiellement du quartier de
Wall street.
Robert Doisneau en parle à Raymond Grosset qui dirige
l’agence Rapho et qui alerte immédiatement Charles Rado,
le fondateur de l’agence parisienne, installé depuis la guerre à
New York où il a fondé l’agence Rapho-Guillemette.
Efficacité des agents complices, les commandes ne tardent pas.
C’est pour réaliser un reportage pour le magazine Fortune que
Robert Doisneau prendra pour la première fois l’avion pour
les Etats Unis le 19 novembre 1960. Thème du reportage :
Il y reviendra en avril 1981 à l’occasion d’une exposition à
la Witkin Gallery. Voyage amical en compagnie de Barbara
Grosset et Willy Ronis.
Il rencontrera alors le grand portraitiste Arnold Newman dans
son studio de Manhattan.
4
“
... lorsqu’il travaille à la sauvette, c’est avec un humour fraternel et sans aucun complexe
de supériorité qu’il dispose son miroir à alouettes, sa piègerie de braconnier
et c’est toujours à l’imparfait de l’objectif qu’il conjugue le verbe photographier.
Robert Doisneau Biographie
1912
Naissance à Gentilly (Val de Marne)
le 14 Avril
1925/1929
études à l’école Estienne
Obtient un diplôme de graveur
lithographe
1930
Dessinateur de lettres
et formation empirique
de photographie pharmaceutique
à l’Atelier Ullmann
1948
« Photographie française »
Avec Boubat, Ronis et Papillon
New York
1949
« La Banlieue de Paris »
Texte de Blaise Cendrars
Ed. Pierre Seghers
1949/1951
Contrat avec le journal « Vogue »
1951
Exposition
Avec Brassai, Ronis, Izis
1932
Vente du premier reportage
au quotidien « L’Excelsior »
1952
« Sortilèges de Paris »
1934/1939
Photographe industriel
1954
« Les Parisiens tels qu’ils sont »
Usines Renault à Billancourt
Licencié pour retards répétés
Rencontre de Charles Rado
(Créateur de l’Agence Rapho)
Devient photographe illustrateur
indépendant
1942
1945
Rencontre de Maximilien Vox
Illustration de l’ouvrage
« Les Nouveaux Destins
de l’Intelligence Francaise »
Début de collaboration avec
Pierre Betz, éditeur de la revue
« Le Point »
Rencontre de Blaise Cendrars
à Aix en Provence
Musée d’Art Moderne
New York
Pour l’hebdomadaire « Action »
Voyage en Yougoslavie
Pour le magazine « Regards »
1947
Rencontre de Jacques Prévert
et Robert Giraud.
Prix Kodak
Textes choisis par Jean-François
Chabrun - Ed. Hors Mesure
Exposition
Avec Henri Cartier-Bresson
et André Vigneau.
Musée Réattu à Arles
Exposition
Avec Jean Lattès, Daniel Frasnay,
Janine Niepce, Willy Ronis
et Roger Pic.
Musée des Arts Décoratifs
« Métiers de Tradition »
1956
Prix Niépce
« Instantanés de Paris »
« La Banlieue de Paris »
Préface de Blaise Cendrars
Ed. Arthaud
« 1,2,3,4,5, compter en s’amusant »
1968
Exposition
Ed. La Guilde du Livre de Lausanne
« Gosses de Paris »
Texte de Jean Donguès - Ed. Jeheber
Exposition
« Pour que Paris soit »
Texte de F. Cali - Ed. Arthaud
Textes de Robert - Ed. Robert Delpire
Giraud et Michel Ragon
Texte d’Elsa Triolet
Ed. du Cercle d’Art
1958
Un chapitre
dans « History of photography »
De Peter Pollack - Ed. Abrams
Rencontre de Pierre Courtade
Reportages
« Epouvantables épouvantails »
Texte de Michèle Manceaux
Ed. Fernand Nathan -
Rencontre de Jacques Dubois
Réalisation de photographies
publicitaires
Exposition
Ed. Denoël - Texte de Robert Giraud
1960
Voyage aux USA
Collaboration qui durera près
de 50 ans
1966
« Catherine la Danseuse »
1946
Retour à l’Agence Rapho
Dirigée par Raymond Grosset
1965
« Le Royaume d’Argot »
1931
Opérateur d’André Vigneau
”
Jacques Prévert
Retrouve Maurice Baquet à New York
Puis reportage en Californie
et à Hollywood
Musée d’Art Moderne de Chicago
1964
« Marius le Forestier »
Texte de Dominique Halévy
Ed. Fernand Nathan
5
Préface de Georges-Henri Rivière
Texte de Roger Lecotté
Direction artistique Jacques Dubois
Ed. Hors Commerce Crédit Lyonnais
Réédition partielle
1967
Reportage en URSS
Bibliothèque Nationale de Paris
Avec D.Brihat, J.P.Sudre et L.Clergue
Musée Cantini - Marseille
1971
Tour de France
des Musées Régionaux
Avec Roger Lecotté et Jacques Dubois
« Témoins de la Vie Quotidienne »
Préface de Maurice Genevoix
Texte de Roger Lecotté
Direction artistique Jacques Dubois
Ed. Hors Commerce Crédit Lyonnais
1972
« My Paris »
Texte de Maurice Chevalier
Ed. Mac Millan à Londres
Exposition
Centre George Eastman Rochester
Museum - USA
Exposition
Avec H.Cartier-Bresson, E.Boubat,
Izis, Brassai, W.Ronis
Moscou
1973
« Le Paris de Robert Doisneau »
Court métrage de François Porcile
1974
« Le Paris de Robert Doisneau
et Max-Pol Fouchet »
Ed. Français Réunis
Exposition
« Robert Doisneau photographe »
Galerie du Château d’Eau à Toulouse
1975
Invité au Festival d’Arles
Exposition
Witkin Gallery - New York
Exposition
Bruxelles
Exposition
Musée des Arts Décoratifs
Nantes
Exposition
Fnac de Lyon
Exposition
Musée Réattu - Arles
Exposition de groupe
« Paris la Rue »
BHVP
Exposition
« Expression de l’Humour »
Boulogne Billancourt
Exposition
Galerie Neugebauer de Bâle
Exposition à Cracovie
Avec Brassai, H. Cartier-Bresson,
J.-Ph. Charbonnier, Izis et M. Riboud.
Exposition
« 6 Photographes en quête
de Banlieue »
Avec G. Le Querrec, C. Freire,
B. Descamps et J. Lattès.
Centre Georges Pompidou
1978
« L’Enfant à la Colombe »
Texte de James Sage - Ed. Le Chêne
Exposition
« Ne bougeons plus »
Galerie Agathe Gaillard
« La Loire »
Ed. Denoël
Exposition
Witkin Gallery - New York
1979
Court métrage
« Trois jours, trois photographes »
De F. Moscowitz avec J.-L. Sieff
et B. Barbey
« Trois secondes d’éternité »
« Le Mal de Paris »
Ed. Contrejour
Texte de Clément Lépidis
Ed. Arthaud
Exposition
« Paris, les Passants qui Passent »
Musée d’Art Moderne de Paris
Exposition
Galerie du Château d’Eau
Toulouse
1981
Court métrage
« Poète et piéton »
1987
« Pour saluer Cendrars »
De François Porcile (55 mn)
Texte de Jérome Camilly
Ed. Actes Sud
« Ballade pour violoncelle
et chambre noire »
Exposition « Saint Denis »
« Passages et galeries
du XIXème siècle »
Avec Maurice Baquet
Ed. Herscher
Rome
Witkin Gallery - New York
Exposition
« Doisneau, photographe
de banlieue »
Mairie de Gentilly
Exposition « Portraits »
Fondation de la Photographie
Lyon
Photopoche
Ed. Centre National
de la Photographie
« Banlieue de Paris »
« Le Vin des Rues »
Réédition Ed. Denoël
« Doisneau »
Par Jean François Chevrier
Collection « les grands photographes »
Ed. Belfond
Palais des Beaux-Arts de Pékin
Exposition de portraits
Tokyo
1984
Participe à la Mission
Photographique de la Datar
Exposition
« Doisneau, photographe
du Dimanche »
Institut Lumière
Lyon
1985
Collabore au journal « Femme »
Participe au colloque Atget
Collège de France
1986
« Le Paris de Robert Doisneau
et Max-Pol Fouchet »
Réédition Messidor
« Un certain Robert Doisneau »
Direction Artistique Robert Delpire
Ed. le Chêne
Exposition
« Un certain Robert Doisneau »
Crédit Foncier de France
Exposition « Portraits »
Ed. Hazan
Grande Halle de la Villette
1989
« Les Doigts Pleins d’Encre »
Texte de Cavanna - Ed. Hoëbeke
« L’Imparfait de l’Objectif »
1990
« Lettre à un aveugle sur des
photographies de Robert
Doisneau »
De Sylvain Roumette
Ed. Le Tout sur le Tout / Le Temps
qu’il Fait
« La Science de Doisneau »
Ed. Belfond
Ed. Hoëbeke
Exposition
« La Science de Doisneau »
Exposition
« Doisneau-Renault »
Exposition
« Doisneau-Renault »
Réédition
Ed. Denoël
1983
Grand Prix National
de la Photographie
« Robert Doisneau »
Exposition
1988
Exposition
Hommage à la Villa Médicis
Texte de B. Delvaille
Ed. Balland
Musée de Saint Denis
Musée Kahitsukan
Kyoto
1982
Exposition
Maison de Balzac
6
Jardin des Plantes / Museum
« Les Auvergnats »
« Les Grandes Vacances »
De Jacques Dubois
Ed. Nathan Image
Texte de Daniel Pennac
Ed. Hoëbeke
1991
« La compagnie des zincs »
Texte de François Caradec
Ed. Seghers
« Portrait de Saint Denis »
Ed. PO/Calmann Lévy
1992
« Mes Gens de Plume »
Textes choisis par Yvonne Dubois
Ed. de La Martinière
« Rue Jacques Prévert »
« Paris »
« la Banlieue »
« Les enfants, les gosses »
« Les portraits »
« Question de lumière »
Robert Doisneau / Henri Alekan
Exposition rétrospective
Ed. Hoëbeke
4 livres édités au Japon
par Treville (Seibu)
Court métrage et plaquette réalisés par
Frank Saunier et les éditions Stratem.
Direction artistique Peter Hamilton
MOMA - Oxford
« Robert Doisneau
a retrospective »
Court métrage
« Bonjour, Monsieur Doisneau »
Texte de Peter Hamilton
Ed. Tauris Book (publié en Angleterre)
De Sabine Azéma (RIFF Production)
1993
« Les Enfants de Germinal »
Texte de Cavanna avec Willy Ronis
et Jean-Phillipe Charbonnier
Ed. Hoëbeke
Exposition
« Noces et Banquets »
« Robert Doisneau »
Texte de Lalla Romano
Ed. Federico Motta (Italie)
Accompagnant une exposition
rétrospective à Milan
« Robert Doisneau »
« J’attends toujours le Printemps »
Texte de Brigitte Ollier - Ed. Hazan.
Lettres à Maurice Baquet
Ed. Actes Sud
1997
Exposition
« Hommage à Robert Doisneau »
Düsseldorf
« Mes Parisiens »
LARC - Le Creusot
« La Vie de Famille »
Court métrage
« Doisneau des Villes
et Doisneau des Champs »
1998
« Bucéphale »
Texte de Daniel Pennac
Ed. Hoëbeke
De Patrick Cazals
FR3 Limousin-Poitou-Charente
1994
Meurt à Paris le 1er Avril
Exposition
« Robert Doisneau
ou la désobéissance »
Ecomusée de Fresnes
Exposition Hommage
Galerie du Château d’Eau
Toulouse
Exposition
« Doisneau 40/44 »
Centre d’Histoire de la Résistance
et de la Déportation
Lyon
« Doisneau 40/44 »
Texte de Pascal Ory
Ed. Hoëbeke / CHRD
Itinérance de l’exposition
créée par Peter Hamilton
Londres, Montréal et Galway (Irlande)
1995
Exposition
« Grand hommage
à Robert Doisneau »
Collection Photopoche Société
Dirigée par Robert Delpire
Ed. Nathan
Texte de Thomas Fersen
Ed. du Rouergue
Collection « Archives Privées »
Ed. Actes Sud
« Doisneau en Limousin »
Collection « Regards »
Ed. Culture et Patrimoine en Limousin
2000
« Robert Doisneau »
Opération « Pour la liberté de la
Presse » de Reporters sans frontières
« Gravités »
Exposition présentée à la Galerie Fait
et Cause à Paris du 2 Mai au 15 Juillet
« Robert Doisneau
tout simplement »
Cassette vidéo et DVD
Ed. Montparnasse
2001
« Tous les jours dimanche »
Entretiens avec Claude Villers
Ed. du Pré aux Clercs
« Doisneau en Ardèche »
Accompagnée d’une importante
monographie - Musée Carnavalet
Texte de Pierre Presumey
Ed. Fédération Œuvres Laïques
d’Ardèche
« Robert Doisneau
ou La Vie d’un Photographe »
2002
« Un tal Robert Doisneau »
Texte de Peter Hamilton
Ed. Hoëbeke
« Paris de Fous »
Doisneau / Druillet
Ed. Dargaud
Exposition à Kyoto
1996
Circulation de l’exposition
« Hommage à Robert Doisneau »
(présentée à Oxford puis au Musée
Carnavalet) à Montpellier en Mars
et Avril puis au Japon de Juin
à Novembre.
Exposition présentée au Musée des
Beaux-Arts
Santiago du Chili
2003
« Robert Doisneau »
Collection Icons Ed. Taschen
« Travailleurs »
Conception et réalisation Jean-Yves
Quierry
Texte de Jean-Claude Renard
Ed. du Chêne
Galerie Claude Bernard
Paris
« Robert Doisneau tout court »
Exposition présentée au Centro
Cultural Borgès
Buenos Aires (Argentine)
2004
Exposition
« Doisneau-sur-Lot »
Galerie d’Art du Casino de Saint-Céré
« Les révoltés du Merveilleux »
Avec Gilles Ehrmann
Texte de Charles Soubeyran
Ed. Le Temps qu’il fait
2005
Exposition
« From the Fictional to the Real »
Galerie Bruce Silverstein
New-York
1999
« La Transhumance de Robert
Doisneau »
Exposition
« Inauguration »
Exposition rétrospective
de 58 tirages grand format
dans les rues de Bogota (Colombie)
7
Exposition
« Doisneau, Banlieue Sud »
Musée de la carte à jouer
Issy les Moulineaux
Exposition
« Doisneau chez les Joliot-Curie,
un photographe au pays des
physiciens »
Musée des Arts et Métiers - Paris
Livre catalogue
Ed. Romain Pagès
Exposition
« Imprimeurs clandestins »
Musée de la Résistance nationale
Champigny sur Marne
Exposition
« Robert Doisneau
photographies »
Galerie Claude Bernard
à l’occasion de la parution du livre
« Doisneau/Paris »
Ed Flammarion
« Paris Doisneau »
Ed. Flammarion
2006
Exposition
« Robert Doisneau - ateliers
d’artistes »
Conseil général de la Meuse
Hôtel du Département
Bar le Duc
Exposition
« Rue Robert Doisneau »
Grimaldi Forum
Monaco
Exposition
« Robert Doisneau - Paris en
liberté »
Hôtel de ville
Paris
« Doisneau rencontre Cendrars »
Ed. Buchet Chastel
2008
« Portraits d’artistes »
Texte d’Antoine de Baecque
Ed. Flammarion
« Doisneau - Un voyage en Alsace
1945 »
Texte de Vladimir Vasak
Ed. Flammarion
Exposition
« Doisneau - Un voyage en Alsace
1945 »
Maison de la Région Alsace
Strasbourg
Exposition
« Doisneau Alsace été 1945 »
La Filature - Mulhouse
Exposition
« Robert Doisneau / Paris »
Mitsokushi - Tokyo
2009
Exposition
« Robert Doisneau Paris
en liberté »
Isetan Museum - Kyoto
2010
Exposition
« Robert Doisneau - du métier à
l’œuvre »
Fondation Henri Cartier-Bresson
« Robert Doisneau - du métier à
l’œuvre »
Texte de Jean François Chevrier
Ed. Steidl
« Palm Springs 1960 »
Texte de Jean Paul Dubois
Ed. Flammarion
Exposition
« Robert Doisneau - Palm Springs
1960 »
Galerie Claude Bernard
2011
« The best of Doisneau »
« Robert Doisneau
en Val de Bièvre »
« Les doigts pleins d’encre »
« Doisneau/Paris/Les Halles »
Ecomusée du Val de Bièvre - Fresnes
Museo Regionale di Scienze Naturali
Turin (Italie)
Texte de Vladimir Vasak
Ed. Flammarion
2012
« Robert Doisneau,
la traversée d’un siècle »
Consulat Général de France
Almaty (Kazakhstan)
« Doisneau / Paris / Les Halles »
« Epouvantables épouvantails »
« Rétrospective
Robert Doisneau »
Salon d’accueil de la Mairie de Paris
Espace de la Tour
Mably (France)
Tokyo Metropolitan
Museum of Photography
Tokyo ( Japon)
« Robert Doisneau tout court »
« Noces et banquets »
« Robert Doisneau,
Paris en liberté »
« Robert Doisneau »
Château de Malbrouck - Manderen
« Paris au petit trot »
« Les Alpes de Doisneau »
« Les Alpes de Doisneau »
« Quand Doisneau était l’œil
de Point de vue »
« Robert Doisneau,
au fil du temps »
« Robert Doisneau,
un photographe au pays
de l’homme »
Maison des Traouïero
Perros-Guirec
Casino d’Art
Saint-Céré
« Robert Doisneau,
Paris en liberté »
« Le peintre dans l’œil
du photographe, portraits
d’artistes de Robert Doisneau »
« Doisneau »
« Robert Doisneau,
le temps retrouvé »
Du 15 septembre au 13 octobre 2012
Médiathèque de Meudon-la-Forêt
(France)
Musée National d’Art Moderne
(MNAM) jusqu’au 21 octobre
Centre Georges Pompidou - Paris
Du 30 octobre au 24 novembre 2012
La Bulle - Médiathèque de Mazé
(France)
Du 29 septembre 2012 au 3 février
2013 au Palazzo delle Esposizioni
Rome (Italie)
Du 16 novembre 2012 à fin août 2013
Au Musée de l’Ancien Evêché
Grenoble (France)
Ed. Glénat
Texte de Raphaël Morata
Ed. L’express Roularta
2013
« Rétrospective Robert
Doisneau »
Du 30 janvier au 24 février 2013
à l’Isetan Museum de Kyoto ( Japon)
8
« Robert Doisneau,
en passant par le Limousin »
Musée des enfants
Buenos-Aires (Argentine)
Du 20 juin au 22 septembre 2013
Galerie des Hospices
Limoges (France)
Galerie de la rue St Vincent
La Gacilly (France)
Du 1er juin au 7 juillet 2013
Sapporo Art Museum
Hokkaido ( Japon)
« Trésors retrouvés »
Abbaye de Stavelot (Belgique)
Du 19 février au 5 mai 2013
Spazio Oberdan
Milan (Italie)
Du 1er juin 1er septembre 2013
Nederlands Fotomuseum
Rotterdam (Pays Bas)
« Les doigts pleins d’encre »
Maison Xavier Bernard
Saint-Sauvan
« Robert Doisneau »
Du 23 février au 30 mars 2013
au Bon Marché Rive Gauche
Paris (France)
« Robert Doisneau
en pays Mélusin »
« Un certain Robert Doisneau »
Centre Culturel de la Justice Fédérale
Rio de Janeiro (Brésil)
« Robert Doisneau »
« Rétrospective Robert
Doisneau »
Galerie Tarquinia
Trouvillle-sur-Mer
« Simplemente Doisneau »
Galerie Tanit, Munich (Allemagne)
Centre culturel français
de Moscou (Russie)
« Robert Doisneau,
Paris en liberté »
Villa Cathala
Noisy-le-Grand (France)
« Simplesmente Robert
Doisneau »
« Noces et banquets »
Centre culturel Recoleta
Buenos-Aires (Argentine)
« Palm Springs 1960 »
Du 24 mai au 22 septembre 2013
Reggia di Caserta (Italie)
Du 25 mai au 29 septembre 2013
Musée du Mont de Piété
Bergues (France)
Texte de Brigitte Ollier
Réédition grand format
Ed. Hazan
Autour de l’exposition
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Projection
« Robert Doisneau, tout simplement »
Film de Patrick JEUDY (67’)
à l’auditorium
Visites guidées
15h - Les samedis :
9 novembre
7 décembre
11, 18 et 25 janvier
8 février
Visite guidée
��� Enseignants ���
14h - Mercredi 6 novembre
Visite découverte
��� Scolaires ���
9h, 10h, 14h et 15h - Les jeudis :
14, 21 et 28 novembre
5 et 12 décembre
16, 23 et 30 janvier
6 février
9h et 10h - Les mercredis :
13 novembre - 18 décembre
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Conférences
15h - Samedi 18 janvier
« La photographie humaniste :
de Robert Doisneau à JR »
Par Christine Cornillet
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Campredon
centre d’art
© Photo Studio JPVC
Un peu d’histoire...
L’hôtel Donadéï de Campredon est une belle
demeure du XVIIIe siècle en partie protégée au titre
des Monuments Historiques depuis 1979. Il a été
édifié en 1746 pour Charles-Joseph de Campredon,
membre d’une vieille famille de propriétaires
terriens dont les origines remontent au XIVe siècle.
Les plans en furent commandés à Esprit-Joseph
Brun, architecte L’Islois de grand talent, à qui
l’on doit de nombreuses réalisations à l’Isle-sur-laSorgue, à Aix-en-Provence et à Marseille, dont le
château Borely.
L’hôtel a été vendu le 18 janvier 1865 par le Marquis
de Lespine, héritier des Campredon, aux religieuses
de Saint-Charles. Il a été acquis par la ville en 1978.
10
Robert Doisneau
Du métier à l’œuvre - Palm Springs 1960
Exposition organisée par la Ville de l’Isle-sur-la-Sorgue en partenariat avec
diChroma photography Madrid et l’Atelier Robert Doisneau
Du 26 octobre 2013 au 08 février 2014
CAMPREDON Centre d’art - 20, rue du Docteur Tallet
84800 L’Isle-sur-la-Sorgue - France
Horaires
Ouverture au public du mardi au samedi : 10h-12h30 / 14h-17h30
[Sauf les 1er novembre, 24, 25 et 26 décembre 2013 et 1er janvier 2014]
Fermeture des caisses à 12h le midi et à 17h le soir
Catalogues
Robert Doisneau, Du métier à l’œuvre - Ed. Steidl
Robert Doisneau, Palm Springs 1960 - Ed. Flammarion
En vente à la librairie
Contacts
CAMPREDON Centre d’art
20, rue du Docteur Tallet - BP 50038
84801 L’Isle-sur-la-Sorgue cedex 01
Tél. (+33) (0)4 90 38 17 41
Contact Presse
Sylvia BEDER Communication Culture : 01 42 18 09 42
e-mail : [email protected]
Direction Muriel CATALA / Christine ADAMANTIADIS : 04 90 38 17 41
e-mail : [email protected]
www.islesurlasorgue.fr / Facebook Campredon centre d’art
Service Culture de la Ville : 04 90 38 67 81
e-mail : culture@ mairie-islesurlasorgue.fr
Prochaine exposition :
« Vladimir SKODA, de l’intérieur » : 1er mars - 14 juin 2014
En couverture : © Atelier Robert Doisneau - Service communication Mairie de l’Isle-sur-la-Sorgue, Lucile Retourné
Tarifs
Général : 6 Euros
Réduit : 5 Euros (étudiants, groupes de 10 personnes minimum)
Gratuit : L’Isloises et L’Islois, chômeurs, Rmistes, moins de 14 ans
(hors groupes scolaires), personnes à mobilité réduite
Groupes scolaires :
Gratuit : écoles L’Isloises - 27 Euros : classes extérieures
Conférence & visite guidée :
Tarif général : 7,10 Euros - Tarif réduit : 5,10 Euros (L’Islois(es),
Rmistes, Chômeurs, PMR) - Gratuit : enfant de moins de 14 ans
Atelier adulte photographie : 12,20 Euros
Abonnement 3 expositions : 15 Euros

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